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Alexis' Chronicles résumé des épisodes/Saison 1

12 340 octets ajoutés, 11 août 2021 à 00:36
Suite
== Suite ==
 
Alexis propose de sortir de la chambre, puis s'étire de façon toute mignonne, le regard plus éteint que précédemment. Il sort en premier, je le suis. Marc est présent, on se salue. Je demande à Alexis s'il veut aller à un endroit en particulier. Il hausse les épaules. Je demande après ma sœur, il semblerait qu'ils préparent le discours de ce soir d'Hypéria. D'ailleurs, ajoute le chambellan, le conseil est actuellement occupé à délibérer à ce sujet.
Il m'oriente en ne sachant pas où est ma sœur, mais pointe du doigt derrière moi. Je reconnais Jean qui vient d'entrer. En fait ma sœur me cherchait. Il disait qu'on a du se louper quand elle est rentrée dans la cité, et qu'elle me cherchait activement. Il rougit en me disant "tu la connais, elle peut être entêtée". Je ne suis pas sûr de comprendre. On le suit. Alexis a les mains dans les poches et la queue entre les jambes, l'air pensif. Je lui demande s'il va bien, il dit que oui. Mais il est un poil rayonnant qu'il ne l'était ce matin.
On sort, le soleil est rasant qui confère une lueur orangée à tout. La cité a l'air plus éclatée vue d'ici. Certains échafaudages sont tombées, de la poussière dans les airs... Les gens que l'on croise ont l'air lessivés, notre infime lueur d'espoir a dissipé le moral des gens. Ils sont soit dans l'expectative, soit dans la morosité. Perso je suis un peu déçu de ne pas avoir réussi. La poussière dans les airs et tout me fait me demander si ce n'est pas moi qui ai commis ce truc, la poussière dans les airs et la chute d'échafaudage.
On s'avance vers l'intérieur de la citadelle, enfin, ce qu'il en reste. Elle est encore plus en fracas qu'avant. On cotoie les immenses blocs qui composent la ville pour traverser. En chemin, je demande à Jean comment ça va et ce qu'ils font. Ils font l'inventaire des objets magiques en fonctionnement. Je demande si de l'aide est venue pour reconstruire la cité. Il me dit que si, mais c'est lourd et long à acheminer. Et que la magie faiblit, les nœuds que l'on pouvait utiliser, il y en avait 3. Le premier était le cœur de la cité, et les autres sont loin. Il faut alors utiliser ses propres réserves, ce qui n'est pas infini.
J'acquiesce. Je demande comment va ma sœur. Il me dit qu'elle est inquiète, quand il s'agit de moi. Elle savait deux choses : le fait que mon épée était liée, et qu'Alexis avait fait des trucs incroyables. Et qu'elle avait fait le lien quand ils ont fait évacuer la cité pour tenter des trucs.
Jean dit "d'ailleurs" pour la seconde fois (je l'avais coupé la première) et à ce moment là ma sœur court en criant mon nom pour me serrer dans ses bras. Je la laisse faire, puis elle me prend par les épaules puis me demande ce qui s'est passé, les gardes ne savaient rien ! Face à ma lenteur à répondre, elle demande à Alexis d'expliquer, mais il n'a pas beaucoup d'info. Elle finit par dire qu'elle m'encourage à être soldat, si rester dans cette ville est aussi dangereux. Je réplique que je suis déjà soldat. Elle soupire. J'explique ce que j'ai fait (sans mentionner le prénom de Julie). J'explique que j'ai pu récupérer l'épée mais pas le reste. En présentant mon épée, Alya semble avoir dessus une réaction différente. Elle trouve l'idée de reconstruire la cité avec mon épée complètement conne. Elle se demande si Demétha en est l'origine, je dis que non. Je termine mon explication avec un petit sourire encourageant, regarde tout le monde et jette un coup d'œil à Alexis qui me fait un sourire en retour.
Derrière la tête d'Alexis, je remarque une sorte de crevasse dans un triplet de rochers, et ai l'impression d'y voir un reflet. Je m'approche du rocher, le trou est à 1m30 du sol et forme un triangle isocèle "à l'envers" d'un mètre de côté. L'intérieur du trou est sombre. Je tente de m'y hisser. Jean me demande ce que je fous, je lui explique que j'ai vu un truc. Il me demande si je ne veux pas laisser le bataillon s'en charger. J'échoue à monter. Et je me retourne alors vers eux, et déclare qu'ils peuvent le faire. Eva a une attitude blasée en regardant Jean qui fait le coq. Lui aussi glisse. Je propose qu'il me fasse la courte échelle. Eva murmure, blasée : "les garçons...". Alexis répond "Eh !" et elle redit "pas toi". Alexis redit "Eh". Puis Eva propose d'utiliser la magie, ce à quoi je répond qu'elle s'éteint. Elle tique.
Jean me fait la courte échelle, et je finis par arriver à voir ce trou qui se penche un peu. Alexis me dit qu'il est le plus léger et qu'il aurait dû y aller à ma place, je réplique qu'il a déjà bien assez mis sa vie en jeu comme ça. Il marmonne quelque chose que les autres entendent mais pas moi. Le trou avance sur plusieurs mètres. Je tente de me lever, je glisse et me cogne le genou. Les autres dehors m'ont entendu. Alya propose de la lumière en disant que ça ne coute pas grand chose (c'est faux).
Eva profite de la courte échelle de Jean pour faire venir sa luciole très fluffy pour m'éclairer, ce sera plus pratique.
Je vois alors un reflet doré de lumière. Je tente de ramper sans glisser, mon nez rencontre quelque chose de froid. Le petit papillon se pose vers quelque chose qui a la forme d'un éclair.
Je recule pour mieux voir, puis m'assois. J'essaie de prendre l'objet, mais j'ai mal aux mains, ça saigne. En le détaillant, le papillon se reflète dans l'objet et mon visage aussi, de façon cuivrée. La lumière du papillon vacille doucement. L'objet a un manche, une garde. Le manche est en haut, l'objet est de travers et est coincé dans le conduit. Elle ressemble à une épée de mon bouquin. Il s'agit de l'épée que portait Railos (celle aux éclairs). Je regarde s'il est possible de la prendre. J'essaie de la prendre par la garde sans me lever. Ça fait un bruit désagréable. Et c'est désagréable à ma main coupée. Je la saisis. Et je rampe pour sortir avec.
Je me retrouve en tête à tête avec Eva, et le papillon revient vers elle. Elle s'écarte et descend. Jean s'écarte aussi à ma demande. Je largue l'épée puis descend, alors que Jean ébêté a saisi l'épée et la regarde, omnubilé. Je tente de prendre l'épée de ses mains, mais il n'arrive pas à la lâcher. Il se tourne vers ma sœur et leur amie et dit "c'est l'épée de Jean". Jean dit "tout le monde s'appelle Jean -ou Jeanne - dans ma famille, en référence au 2e des 12 mages et je suis un descendant de l'un des 12. Et je ne pensais pas un jour avoir cette épée entre les mains."
Je lâche l'épée. Si c'est la sienne, je ne vais pas y toucher. Elle était grande, plus légère que d'autres, et est en forme d'éclairs. Jean se demande ce qu'elle faisait là. Alya dit qu'elle était entre les mains du chitineux. Je déclare qu'il s'appelle Raylos. "Bravo, tu as donc gagné une épée". Il est ébahi et se demande s'il peut la prendre. Je pense que oui. Eva dit que techniquement, elle lui revient de droit. Alya ajoute qu'elles risquent de beaucoup en entendre parler de cette épée.
 
Ensuite, on va regarder le discours d'Hypéria. Alexis se demande d'où elle va faire le discours. Eva pointe l'un des rares pics de la cité. Jean se perd dans la considération de son épée. Je lui propose d'en parler à Hypéria. Mais il pense uniquement l'utiliser comme réservoir magique. Puis Alya se rend compte de ma blessure. Et Jean du sang sur l'épée. Alya nous engueule de ne pas l'avoir dit plus tôt. Eva me donne de l'Arnoka pour me soigner. Je l'étale, puis ça me brûle de douleur. Alexis est resté en retrait, il regarde la situation avec intérêt.
Jean dit que cette épée peut servir de réservoir de magie, comme un corps peut servir aussi. Eva demande si elle pour étudier l'épée à l'occasion.
On finit par arriver à un attroupement de gens du côté de la porte. Et on croise Rec, Popote, Jastar, Mara (éclaireuse), Rosen et, en retrait, Altora. Tout le monde discute, il y a des soldats, des badauds. Une charrette de tomates passe. Un enfant hybride aux cheveux bleus passe et tente de voler une tomate.
Je demande à Jean quel était l'info qu'il voulait me donner après son "d'ailleurs", mais il me dit qu'il m'en parlerait plus tard.
Dans le ciel, face au soleil couchant, on finit par voir se détacher du ciel des silhouettes humaines en haut de l'immense rocher. Hypéria est là-haut, petut-être Jasper (une grosse silhouette). Le discours commence.
"Il n'aura pas échappé que cet après-midi, nous avons tenté une action décisive pour tenter de restaurer notre cité. Plusieurs semaines de travail pour reconstruire. Je sais à quel point sacrifices importants. Soyez certains que je suis la première à me les imposer. Réunis avec nouveau conseil. Décisions. Ce ne sont pas de bonnes décisions, mais nécessaires. Certains ont vécu vie ici. Certains ne voudront pas quitter. Et je laisserai faire. Nous devons défendre Administria. Pour la reconstruire, nous devons déplacer la capitale temporairement. Hauts fonctionnaires de tout Axelor ont visité. Décision pas facile, car pas de bonne décision. (gens choqués). Partir vers l'ouest. Je vais me déplacer jusqu'à Mustiboué. Je laisserai Démétha prendre parole pour université. Ceux qui veulent rester pourront reconstruire. Vers l'ouest, chercehr des solutions. Cité restera protégé comme centre magique. Nous avons déjà traversé tragédie. demain nous appartient. Je vous remercie."
Avis des gens mitigés. Rec croise les bras et lâche "Bon, je crois que je sais où on va aller. Je comprends mieux Hectoria. ça fait longtemps qu'on a pas vu la mer."
Je demande à Alya, et j'apprends qu'elle aussi n'a jamais vu la mer. Mais je suis censé rentrer. D'ailleurs je demande si elle a déjà reçu un courrier de maman depuis. Oui, et ça va.
 
Discours Demétha : les étudiants doivent se rendre à l'université pour réunion de 30 minutes.
Alya et ses amis y vont.
Je demande où Alexis va aller et si en temps qu'étudiant il doit pas aller à la réunion. Il me dit que c'est que pour les étudiants en magie. On doit voir Hypéria pour savoir, après tout c'est elle qui nous fait instruire.
On rentre à l'auberge, puis Alexis se flanque sur son lit, le bras sur la tête, l'air pensif. Je m'assois sur le lit, et lui demande si ça va. Il m'explique ce qui lui passe par la tête, tous l'enchainement de ce jour.
On frappe. Marc entre, il dit que quelqu'un sollicite une audience. Il finit par dire que c'est Hypéria. Je dis que ça tombe bien et me lève. Puis dis à Alexis "à moins que tu aies encore quelque chose à me dire, sans quoi on peut attendre que tu aies fini ... ?" Il est choqué que je propose de faire attendre Hypéria. Mais moi ça me semble important.
Je finis par me diriger vers Marc. Qui m'annonce qu'elle voulait en fait venir dans nos quartiers. Je reviens alors sur le lit et lui dit de la faire entrer. Elle arrive alors d'un coup et s'excuse du protocole peu cavalier.
On s'incline, puis elle demande à Marc de nous laisser. Il prend congé.
Hypéria soupire.
"J'imagine que vous avez entendu mon discours ? La destination de Mustiboui n'est pas anodine. Puis-je être totalement transparente avec vous deux ? Les compétences magiques ne sont pas suffisantes pour relever Administria. Deux objectifs : protéger l'administration dans cette ville fortifiée. Et aussi des possibilités à l'ouest. La magie que nous avons ne suffit pas à réveiller Valéria, ma sœur, plongée dans un profond sommeil. Je souhaite... lancer une exploration. Mais je ne peux m'éloigner moi-même ni d'Administria telle qu'elle sera ni du pays. Et, actuellement je ne peux plus assurer votre protection à tous les deux. Plus très longtemps du moins [je fronce les sourcils]. Vous avez deux possibilités. [Elle me regarde]. Retourner à vos pôtates ou vos choux, ou alors explorer un monde à l'ouest avec lequel nous ne sommes pas entrés en contact depuis bien longtemps."
Elle me regarde : "Alors, Célestin, quel avenir souhaitez-vous emprunter ?"
 
 
 
==> Tiquer que c'est comme mon rêve prémonitoire !
+ mentionner l'épée de Jean
+ Demander ce qu'elle entend par "je ne peux plus assurer votre protection à tous les deux" + par " monde avec lequel nous ne sommes pas entrés en contact depuis bien longtemps"
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