Brouillon:Chromos

Chromos :

Le mathématicien bleu

Il tenait le crayon de papier. Il n'aurait que quelques secondes. Il grava sur le mur les formules complexes déterminant les paramètres dont il avait besoin. "Tu comptes fuir, hein ? Lâche créatif !" Malik ne se laissa pas distraire. Piégé dans cette ruelle, il n'avait pas d'autre choix pour échapper a ce mec et son énorme épée. Les différents paramètres étaient définis. L'homme était a quelques mètres derrière lui. Il sentait que le silence annonçait la sentence d'une lame dressée pour balayer l'endroit de sa personne. Un dernier coup de crayon pour compléter un quatre.

Il y eut un bruit d'effondrement, ou d'explosion. La soeur courut vers la ruelle. Peut être était il déjà trop tard. Les conséquences seraient grandes. La sororité la rejetterait peut être. Elle tourna brutalement pour entrer dans la ruelle, et s'arrêta, choquée. Elle ne savait quel était son pouvoir. Mais, épuisé, reprenant son souffle au milieu d'un nuage de poussière, l'homme au crayon de papier qu'elle avait suivi lui faisait face, se tenait à genou, une estafilade sur l'épaule. Et autour de lui et devant lui, sur plusieurs mètres, tandis que le mur derrière lui semblait avoir été partiellement éclaté, des morceaux de briques brisés recouvraient quelque chose. La soeur mit un instant a comprendre. Puis elle réalisa. Elle ne savait pas quel était le pouvoir de cet homme au crayon, ni si c'était bien Malik Cuinet. Mais il venait de tuer un homme devant lui avec des débris arrachés a un mur situé derrière lui.

Chromosien Sol - Crayon de formulation Objet : Crayon, feutre, craie, indéterminé actuellement. Pouvoir : écrire des formules liant et influençant localement les paramètres de n'importe quel volume désigné de matière, à défaut celui situé au centre des inscriptions, à travers de l'arithmétique. Appelle des paramètres sous formes de variables. Chaque paramètre possède sa variable attachée. Stade final : Formulation acquise. Capacité a tracer les formules a même l'air et a les modifier par la pensée. état de conscience modifiée donnant une capacité accrue a penser les formules. Peut créer de nouvelles variables d'univers absolues et des constantes.

La boxeuse

L'immeuble tombait droit sur eux. Elle pivota et assura le bonne tenue de son gant de boxe. Elle vérifia comment l'immeuble tombait. Les autres commençaient à crier. Klev lui même écarquillait les yeux. Elle cria. « Baissez-vous ! » Sans vérifier qu'ils s'étaient plaqués au sol, elle plia les jambes, et commença à se tasser comme un ressort. Le flanc de l'immeuble était à quelques mètres quand elle bondit et frappa. Elle visa entre les deux étages qui leurs fonçaient dessus. Klev ne la vit pas frapper.

L'instant qui suivit, une énorme explosion retentit. L'immeuble éclata, explosant sous un impact depuis l'endroit où elle l'avait frappé. Un seul coup de poing. Les débris fusaient tous à l'opposé du point de contact, se fichant même dans le corps d'un de leurs adversaires. L'instant qui suivit, elle retomba sur le sol, un genoux à terre, tanga à peine, puis releva la tête pour fixer d'un regard mauvais leurs opposants.

Avec ou sans énergie chromique, elle frapperait encore assez fort.

Le dieu tombe

Klev se tenait au sommet du monde, littéralement. Debout sur l'immense globe au centre de la place il observait les alentours et sentis en lui un sentiment nouveau, et bienveillant. S'il n'y avait personne ici, il était le maître de ces lieux, il se sentait responsable de cet endroit. C'était chez lui. Perdu dans ses pensés, il se demandait lequel de ses ancêtres avait le premier resentit qu'il appartenait à une terre autant qu'elle lui appartenait. Il sentit plus qu'il vit quelque chose le frôler. Déséquilibré il tombat de son piédestral, glissant le long de l'Afrique il atterit à genoux dans le bassin sous le globe. Sa joue le brulait, d'une longue estafilade coulait une importante quantité de sang. Les yeux exorbités, le coeur battant à cent à l'heure, Klev s'éssuya la joue d'un revert de manche et courrue droit devant lui. Mais à peine eut-il fait quelques pas que de nouveau quelquechose le frôlat au niveau de la jambe. Nouvelle estafilade, peut importe, il courrait, n'osant même pas se retourner. Alors qu'il trournait au coin d'une ruelle un paneau de signalisation à coté de lui fut coupé en deux dans un vif éclat blanc. Dans le même élan Klev fut projeté du coté opposé au panneau par un violent coup. Il avait mal, alors qu'une partie de son pantalon avait été coupé nette quelque chose avait arrêté la coupure au niveau de sa poche : le livre. Une petite ravine creusait la couverture, une infinité de petits fragments s'agitaient à l'intérieur et reconstituaient peu à peu l'intègrité du livre. Le jeune homme prit son livre à la main et détala de plus belle. La ruelle était étroite et longue avant qu'il n'atteigne le bout une violente douleur lui déchira le dos. Apeurré, paniqué, il se retrouva au sol, alors qu'il se relevait une voix féminine se fit entendee : "Les rumeurs étaient donc fondées, il y a un Habitant à Dôle ! Et comme tu n'est pas enregistré je vais pouvoir te tuer et m'emparrer se cette terre ! HAHAHAHAHAHA !"

Le rire était hystérique. Klev tenta de fuire mais une nouvelle douleur lui lézarda le dos. Il se fit pourtant un remarque incongrue : il entendait un gricement et aucun bruit de pas, pourtant la voix se reprochait. Il jeta un coup d'oeil derrière lui : une jeune fille aprochait dans un fauteille roulant. Il ne l'aurait pas cru s'il ne l'aivait pas vu : ce rire provenait bien de cette fillette de 12 ans, elle était certainement à l'origine de ses blessures. "Ce ...." commença Klev avant qu'elle ne le fasse taire. Elle était désormait à son niveau. Klev put la voir de plus prêt, elle tenait dans sa main une feuille de papier d'un blanc nacré, elle la tenait comme une arme, le menacant avec. "C'est ..." "Tais-toi chien !" Klev vit clairement le papier dans la main de la jeune fille s'allonger à une vitesse folle avant de percuter son dos. "Tu es résistant mais je viendrais à bout de toi !" Soudain ce fut le déclic pour Klev, alors qu'elle allait de nouveau le fouetter, Klev se retourna et interposa son livre entre lui et le fouet de la fillette. Celui-ci fut stoppé net. Klev proffita de la surprise alors qu'il projetait son livre de toutes ses forces et de toute son âme un impulsion semblat faire vibrer l'espace et un rugissement inhumain secoua le bouquin qui doublat de taille. Klev hurla : "C'est Dole, sans accent !!!!!!!!!!!!!!!!" Le coup envoya valdinguer la fillette au loin alors que le jeune homme prenait ses jambes à son cou.

Walkman versus Le cactus foudroyant

Walkman, qui détestait son pseudo cherchait quelqu'un dont le pseudo était encore plus ridicule que le sien : Cactus Foudroyant. Walkman était un homme grand, fin, aux cheveux courts, un air désabusé se lisait sur son visage aussi fin que son corps. Ses goûts vestimentaires (assez classe) tranchaient avec le gros casque audio autour de son cou. Il avançait discrètement dans les ruelles de cette ville teinte de verte par son propriétaire : Cactus Foudroyant. En chemin, l'homme faisait le bilan de l'énergie qu'il lui restait dans les cristaux qu'il portait à la ceinture. "Hum ... Fit-il pensif. Ça devrait suffire." Alors que Walkman s'approchait du lieu de vie de Cactus Foudroyant il passa à la seconde forme de son Objet. Son casque audio s'étendit et recouvrit son crâne d'une coque grise sur lequel se dessinait deux boomerangs. Ces derniers se désolidarisèrent du casque et se mirent à flotter au dessus de Walkman. Walkman marchait dans une ruelle entre deux immeubles. Alors qu'il avait la maison de Cactus Foudroyant sous les yeux son 6ème sens l'avertit de l'arrivé d'un projectile à haute vitesse dans son dos. Il se retourna et tenta de parer l'objet avec ses boomerangs mais ceux-ci arrivèrent à peine à dévier l'objet que Walkman eut peine à éviter. Le cactus, car oui il s'agissait d'un cactus, passa à travers la façade en béton armé derrière Walkman. Celui-ci, déstabilisé, vit un jeune garçon roux, aux cheveux hirsutes sauter d'une fenêtre du premier étage d'un des immeubles encadrant la ruelle. Il tenait dans ses mains un pot à fleur. Une fois au sol le rouquin l'intéroga : "Qui es-tu ? _ Je suis Walkman. SDF et chasseur de prime. Et toi tu es Cactus Foudroyant n'est-ce pas ? _ Je viens de te tirer un cactus dessus à pleine vitesse et tu poses vraiment la question ? Non non, moi je suis Tomate Rougeoyant son frère ... T'es con en fait, je me demande comment tu as réussi à éviter mon tir. _Un unijambiste aveugle l'aurait évité ! Mais trève de bavardages, prépare-toi à mourir ! " Cactus foudroyant sourit, il aimait les défis. Il s'aprètait à tirer quand Walkman couru hors de la ruelle, ni une ni deux le rouquin se jeta à ses trousses. Walkman l'attendait dans la petite avenue qu'il avait rejoint, souriant. Cactus Foudroyant attaqua dès que Walkman fut de nouveau en vue, ce dernier ne tenta pas de parer, une onde de sonore émana de lui et ralentit le projectile

qu'il évita alors aisément, vrillant au passage les oreilles du rouquin.

_"Dans cette petite avenue tes cactus aux trajectoires rectilignes sont bien trop facile à éviter ! Dit Walkman en rigolant. Regarde plutôt un vrai pro." Il ferma les yeux, ses deux boomerangs virvoltèrent en direction de Cactus Foudroyant. Il tenta de les détruire à coups de cactus mais ils les évitèrent. Quand ils furent assez proche, ils produisirent une onde sonore si puissante que le rouquin fut balayé et mis au sol, assourdi. "Pitoyable ! Lançât Walkman. _ Tu n'as encore rien vu ! _ Comment m'entends-tu !? Cette onde sonore aurait dû détruire tes tympans  ! _ De la même manière que je t'ai entendu venir : les cactus me l'ont dit !!!!" Se relevant soudainement le rouquin tira de nouveau sur Walkman qui évita de nouveau le coups. _ "Tes coups sont peut-être puissant petit cactus, mais si tu ne touche pas c'est inutile. _ Tu crois !?" Cactus Foudroyant tira de nouveau, Walkman presque blasé envoya une onde de choc et fit un petit pas sur le coté pour éviter le cactus. Il ne comprit pas tout de suite d'où venait la douleur dans sa poitrine, ni pourquoi il flottait dans l'air. Un instant plus tard, quand il atterrit sur le sol, il compris qu'il avait perdu. Cactus Foudroyant s'approcha de lui et lui dit : _ "Tu croyais vraiment que je ne pouvais tirer qu'en ligne droite ? T'es vraiment con en fait. Après mes deux petits tires j'ai compris comment tu évitais les cactus et j'ai juste eu à donner un petit éffet et un peu plus de puissance au dernir tire pour te toucher. Bref, adieu." Et c'est ainsi que mourut Walkman.

Un pistolet à tatouer : il peut colorier quelqu'un de l'intérieur (sous la peau) et donc absorbe son énergie. Le tatouage disparait rapidement.

Objet : Couteau-suisse d'assimilation Chromique

En détruisant un objet chromique avec la lame du canif, son posseur peut en assimiler durablement le pouvoir, a la limite d'un pouvoir à la fois. En le plantant dans un Chromossien, il peut assimiler temporairement le pouvoir de ce dernier, sans perdre son pouvoir durable. Peut également provoquer, de façon peu modélisable, des perturbations dans la structure Chromique des Objets, et donc des individus.

Casque audio. Couleur : gris #888888 (pas sûr, à vérifier) 1ère forme : il utilise le casque comme un boomerang qui émet régulièrement des impulsions sonores assourdissantes et si puissantes qu'elles agissent comme des ondes de choc. 2éme forme : casque à la magnéto. Deux boomerangs itègrés sur le casque et détachable.

Pouvoir : contrôle des ondes sonores. (par extension de la pression de l'air.)

Utilisation basique (bourrin) de son pouvoir : créet un onde sonore/de choc autour de lui. Utilisation fine de son pouvoir : il peut contrôler ses boomerangs à distance. Il peut ressentir l'air autour de lui (il "voit" dans le noir").

Chromagical Girls : L'empereur Dieu du jaune a gagné. Après avoir prouvé sa supériorité a Bacrima, il lui dévoile alors son dessein pour le monde. Bacrima hurle, pensant que l'univers n'est pas prêt. Klev transforme donc le monde et modifie l'histoire ; les Chromossiens sont tous des Magical Girls au pouvoirs et aux objets identiques à la première réalité. En entrant dans Chromos, ils deviennent tous convaincus d'avoir toujours voulu être des magical girls, et d'avoir été des filles, dans la plupart des cas. Cependant, réuissiront elles a déjouer le terrifiant plan de Freeman pour détruire la magie ? Vous découvrirez tout cela dans Chromagical Girl, chapitre 1 : Kuroimagical.

Aurélie secoua sa tête, agitant ses deux couettes d'un rouge grenat inspirant la colere, remettant une mèche rebelle en place. Elle leva son disque dur au dessus de sa tête, et cria : « Par l'amour de l'animation japonaise ! » Le disque se transforma alors, devenant un bouclier aux allures chevaleresques, tandis qu'un accoutrement rose-blanc aux fioritures rouges venait remplacer sa tenue habituelle. Elle abaissa sa main dotée d'un bouclier, murmura quelque chose, et dans son autre main une épée vint se constituer dans un éclat rosâtre. Personne ne passerait cette position. Elle protégerait ses amies coûte que coûte.

La plupart des gens sont transformés en filles. Il y a ceux dont l'esprit n'était pas tant prêt pour devenir des Magical Girls qui sont modifiés et qui deviennent des filles s'il ne l'étaient pas, ceux dont l'esprit était compatibles et qui se contentent de devenir des filles s'ils étaient des garçons, et ceux qui sont des garçons et dont l'esprit était capable de devenir Magical Girl sans ressentir le besoin de changer de sexe et qui restent donc des garçons en devenant Magical Girl. Dans ce dernier cas, ils peuvent être habillés en Magical Girl, où être des Magical Boys, un cas très rare.

Idée : Les enfants des Chromossiens ne colorent rien, n'ont pas d'objet, et ne découvrent que rarement leur propre pouvoir, et ne savent pas l'utiliser consciament. Ils tirent leur énergie directement de Chromos ou bien de cristaux. Le pouvoir de l'enfant Klevien est défini pour ces conditions :

Chant requiem : capacité tenant son nom de son seul usage dans l'histoire. Après avoir apris la vérité sur ses origines, l'enfant fuira tout pour arriver un jour a une coline où il tombera à genoux. Il se laissera aller a ses souvenirs vagues datant d'avant sa sortie de la Citadelle, des rêves dans lesquels Klev interagissait avec lui, et découvrira que sa connexion a Klev avait été alors maintenue de nombreuses fois non volontairement par ce dernier. Errant dans ces vestiges flous le menant a pleurer, il découvrira alors une mélodie de l'empereur qu'il fredonnera sans réfléchir sur cette coline, avant de se mettre a chanter de toute son ame. Son pouvoir s'active alors, et tous les êtres de Chromos entendent le requiem chanté d'une voix pure et triste, interompant l'activité mondialement, tandis qu'une petite fille du nom de Chromos se met à pleurer, provoquant la pluie sur toute la planète. On peut imaginer Hyra voir les données du chant partout autour de lui, et en retirer ses lunettes sous l'émotion. Ce chant permettra a Malik de réaliser que quelque chose de Klev subsiste quelque part, il partira donc à la recherche de sa source, guidé par la direction des gouttes de pluie, qui semblent portés par un vent léger partant de l'épicentre du phénomène, à savoir l'emplacement de l'enfant.

Hyra était, comme à son habitude, assit à son bureau en train de travailler sur une feuille de papier. Un amalgame de formules et de gribouillis illisibles s'amoncelaient autour de lui. Un bruit le tira de ses réflexions. Rajustant ses lunettes il observa les personnes qui se tenaient dans l'encadrement de la porte : Alia et Bacrima. Soudain Hyra poussa un petit cris étouffé. Se relevant tremblant, son visage exprimait des émotions incertaines, peur, excitation, joie ... Il fit précipitament rentrer les deux visiteurs, jeta un coup d'oeil circulaire à l'extérieur avant de fermer la porte et tout ses volets un à un. Il fit discrètement signe aux deux personnes de se taire et de le suivre dans une pièce adjacente. Là il souleva un tapis révellant une trappe. Il fit précipitament descendre ses hôtes par l'escalier que cachait la trappe. Il la referma avec le tapis dessus. Bacrima et Alia avancaient désormais dans le noir, une LED éclairait doucement le bout du couloir dans lequel ils tâtonmaient. Ils furent bousculés par Hyra qui trotina devant eux avant d'appuyer sur un bouton, soudain une lumière vive les éblouis, ils se trouvaient dans un long couloir blanc, niquel, au bout duquel un ascenceur s'ouvrait. Alia ouvrit la bouche dans l'intention de poser une question mais Hyra se précipita vers elle et la fit taire en posant son doigt sur sa bouche. Alia recula vivement, Bacrima crut qu'elle allait perdre son sang froid mais elle se retint. Hyra fit signe aux deux interloqués de se presser. Toujours en silence ils entrèrent dans l'ascenceur. Tout aussi nickel que le reste. Tout semblait neuf et de haute technologie, mais comment une maison en ruine pouvait-elle habriter une telle instalation ? La porte de l'ascenceur s'ouvrit sur un petit couloir. Au millieu de celui-ci une sorte de surface transparente aux reflets violets brillait.Hyra semblait excité et courrait presque, traversant la surface comme si elle n'existait pas.Bacrima, intrigué, s'arrêta devant avec Alia.

Hyra fit demi-tour et tira les deux autres en avant, à travers l'étrange surface. Bacrima sentit des picotements le long du dos, quelle chose étrange ... Ils se trouvaient désormait face à une porte en métal, sans poignés, qui semblait incroyablement renforcée. S'approchant de celle-ci Hyra prononca un mot incompréhensible, sans doute dans une langue étrangère. Une caméra, que Bacrima n'avait pas remarqué, situé au plafond se tourna en direction de Hyra. Après quelques instant l'imposante porte s'ouvrit sur une pièce blanche. Bacrima et Alia n'en revenaient pas, ils se trouvaient dans une salle souteraine aux dimensions titanesques, un hangar était un mot plus approprié. Tout était blanc, une centaine de machines toutes plus étranges les unes que les aures s'entassaient un peu partout. Et quelques personnes travaillaient ici et là parfois devant un tableau blancs, alignant des calculs complexes, parfois devant une machine en train de percer les secrets de ce monde. Lorsqu'ils entrèrent tout le monde se tourna vers eux. _"Bonjour professeur." lança un homme d'un certain age à Hyra. "Nous ne vous attendions pas si tôt. Qui sont donc vos invités ?" L'homme semblait méfiant et lançait un regard condescendant au couple étranger. _"Laissez tous tomber ce que vous faites et venez !" Lança

Hyra d'une voix forte. Rapidement la dixaine de scientifiques, du moins il semblait qu'il s'agissa d'intelectuels, se réunir autours des nouveaux arrivants.

Hyra prit la parole avant quiconque : "Mes amis, j'ai l'immense joie de vous annoncer que le monde est sur le point de changer ! Ce jeune homme que vous voyez est un créationiste ! Un jour il sauvera notre monde !" L'assistance, pétrifié un moment explosa de joie, félicitant Hyra et saluant chaleureusement Bacrima qui ne comprenait rien de ce qui se passait. Passé le moment de liesse, Hyra entraina Alia et Bacrima au fond du hangar, à une table où il déposa une caftière pleine et des petits gateaux. Prenant place Bacrima demanda : "Où sommes-nous ?" _"Très bonne question jeune homme. Nous sommes dans mon laboratoire, c'est ici qu'avec mon équipe je tente de percer les mystères de Chromos. Si vous saviez depuis combien se temps nous cous attendions. Mais je ne me suis pas présenté, je suis Hyra, on me.surnomme aussi le cervau à lunette, mais je n'aime pas ce surnom, il est ridicule. Je sais déjà beaucoup de vous. Mon pouvoir est intimiment lié aux savoirs, à l'information, en l'étudiant je l'ai amélioré dans des proportions ... divines ! Voyez-vous, plus je vous regarde et plus j'en apprends sur vous. Beaucoup de ce que je sais est inutile, qui s'intéresse au fait que les fleurs préférés d'Alia soient les lys ? Personne ! Ce qui est important c'est que mon pouvoir me permet d'avoir des informations sur l'avenir, et vous jeune homme, vous y tenez une place prépondérante. Vous allez sauver le monde, le changer à jamais. Grâce à vous, peut-être un jour nous pourrons rentrer chez nous ..." Bacrima était soufflé, il n'avait pas eu le temps de dire quoi que ce soit, pas eu le temps de réflechir. Hyra avait lançé sa tirade d'un trait sans même reprendre son souffle. "heu ... Vous êtes sûr ?" "À 100%, vous êtes un créationniste, le seul au monde probablement. Il ne peut s'agir que de vous. Je vous ai détecté il y a quelques jours quand vous avez fait usage de votre pouvoir à Dole, j'y ai envoyer une enquêtrice qui ne m'a plus donné de nouvelles, qui eut crût que vous viendriez de vous-même !" Bacrima fronça les sourcils et répondit : "Qu'est-ce qu'un créationniste ? Et je ne suis pas allé à Dole depuis que je suis dans Chromos." "Comment !" s'exclama Hyra. "Mais qui est à Dole alors ? Comment est-ce possible ? Vous seriez deux créationnistes ? Si proche physiquement et temporellement ce ne peut pas être un hasard !!! Vous avez de la famille, des amis sur Dole ? évidement que vous en avez, je le sais ! Vos parents, et ... um certain Mathias, ainsi que .... Oui lui semble avoir le profil. Klev !"

« Vous devrez apprendre diverses équations de l'aérodynamisme. Ainsi vous pourrez choisir vos cactus en fonction des conditions auxquelles vous faites face... »

• il ferme les yeux et remonte une nouvelle fois ses lunettes*

« Vous serez redoutable. » Quelques mois plus tard, à la Citadelle. « Empereur-Dieu du jaune, je te défie ! » Klev atterrit, son poing sur le sol écartant la poussière, et releva son regard vers son visiteur, avant de répondre : « Que me veux-tu, humain ? » [...] La Citadelle vrombit. Ses anneaux de pierre cassèrent, tombant en poussière, tandis que Klev, un cactus dans l'abdomen, gisait, inerte, contre un mur fraccasé de cette dernière. Dans un craquement immense, la Citadelle se brisa, tandis que l'homme qui avait défié le dieu se retournait et commençait a s'éloigner sous la pluie des décombres fumants de l'Empire. « Tu ne m'as pas demandé mon nom, Dieu. Et sache que c'est ce qui a causé ta perte. Car je suis le Cactus Foudroyant. »

La mort de l'empereur

Le fin rayon d'énergie semblait être ce autour de quoi la citadelle avait été bâtie. Mercure dirigea son porte-mine vers elle. Et il pressa le bouton.

Le Dieu se plia en deux. Que se passait-il ? Il brisa le bouclier de Bacrima et l'envoya à terre, sans même le regarder chutter. Que se passait-il ? Que se passait-il ? Qu'est-ce qui faisait que ? Il sentait l'énergie chromique partir… Il se reprit. Peu importe. Il forcerait Chromos lui même si la Citadelle ne le faisait plus.

Bacrima chuttait, les débris de son champ de force tombant avec lui. Son disque dur se reconstituait déjà malgré le fait que les éxagones qu'il avait créé pour la troisième forme avaient été brisés. Sans les cristaux, il serait déjà mort… Combien lui restait-il d'énergie ? Il fut interrompu dans ses reflexions en s'écrasant sur le sol dans un violent impact. Pourtant, dans la poussière, les cristaux lui permettait de rester valide. Un instant plus tard, il se redressait déjà. Mais il ne se faisait pas d'illusions. Son propre desespoir devenait insoutenable. La situation lui échappait. Il n'avait pas peur. Il enrageait. « Si je ne peux pas te détruire toi… » …Il lève son bras… « Je peux au moins détruire ta citadelle ! » Il tira. Détruire le symbole de l'empire, au moins le temps que le Dieu le reconstruise, serait son dernier acte. Le bouclier formé d'éxagones se reconstitua, et ses tourelles flotantes visèrent toutes au même point en dépassant la vitesse du son. Le rayon au diamètre imposant se dirigait vers les hauteurs de la citadelle dans un bruit strident.

Klev cria. Il atteignait sa propre limite psychique. Il ne parvenait plus à maintenir ses pouvoirs, la citadelle, et la survie de ce à quoi il tenait. Il ne saurait pas rester concentré pour sauver ce à quoi il tenait. Il ne saurait pas aspirer l'énergie de Chromos ici sans tuer ce à quoi il tenait ! Il ne voulait pas perdre ça. Il n'avait même pas pensé à génerer quelque chose pour stopper l'impact avant qu'il ne touche la Citadelle. S'accélérant plus qu'il ne l'avait jamais fait, dans une froide panique enragée, le Dieu parla, sans même songer que personne ne l'entendrait jamais. « Si je ne peux pas stopper ce rayon… Je peux au moins l'absorber. » Il glissa dans les airs jusqu'à ce dernier, lui fit face, et écarta les bras. Et, derrière lui, le livre dans sa taille maximale apparut de nul part, s'ouvrant. « Peut être que… » Klev sourit béatement un instant. Le rayon le brisa. Le Dieu se brisait tandis que le livre jaune absorbait le rayon.

Bacrima cessa de tirer quelques instants plus tard, et baissa sa main, essoufflé. Il regarda si la Citadelle était détruite, et vit que non. Alors il serra les poings et attendit la réponse de la puissance du Dieu. Il vit alors le livre là où il avait tiré, qui revenait à sa taille d'origine. Bacrima ouvrit la bouche tandis que l'Objet commençait à tomber, comme au ralenti, se désagrégant… Le leader rebelle ne comprenait rien. Dans une pulsion lumineuse jaune finale, le livre disparut. Les anneaux de la Citadelle freinèrent alors leur rotation. Le livre ? Brisé ? Klev disparu ? Bacrima ne comprenait pas pourquoi ça s'était passé comme ça. La Citadelle se mit alors à déscendre vers le bas, restant droite dans les airs.

L'impact de la structure gigantesque sur le sol fut d'une violence sans nom. Bacrima déploya son bouclier habituel pour se protéger de la poussière derrière, hurlant sans savoir s'il s'époumonait à propos de la violente vague ou pour son incompréhension.

Dans la Citadelle, le groupe rebelle subit également le choc. Deux d'entres eux mourrurent, mais les autres étaient assez solides.

Objet : feuille de papier

Première forme : fouet très coupant. Seconde forme : pas encore atteinte Pouvoir : créer des monstres origamis en papier reliés à sa feuille par un lien de papier. Les origamis sont très coupants, mais ont une faiblesse : coupe le lien et ils se désagrègent.

Le déni du Dieu

"Je me fiche de l'autocratie ! Laisse ce pays se gouverner ! Je ne suis pas comme vous... Je ne suis plus comme vous. Je ne me mélangerai plus à vous !" L'homme en resta bouche bée. Comment celui qui avait mené la révolution pouvait dire ça ? La salle du trône grondait du bruit lourd induit par la lévitation de la Citadelle. Le lourd silence entre les deux hommes s'étirait. L'Empereur-Dieu restait assis sur le trône, mais on voyait qu'il cherchait a contenir sa rage. Soudain, le dragon endormi a ses pieds se redressa. L'homme qui était venu voir l'empereur ne bougerait pas. Il attendrait une réponse. Celle du Dieu vint alors que l'énorme créature regardait le visiteur. Puis, le Dieu fou reprit son calme, et dit, si bas que l'homme n'y crut pas ; "Gihakine... Bouffe-le." Le dragon se dirigea vers le visiteur. Il hurla.

Le bouclier rouge rencontre l'empereur-dieu du jaune

J'avais envie d'écrire. Texte non contractuel. ^^

Le Dieu releva son regard et défia celui d'Aurélien. était-ce vraiment Klev ? Toute la sensibilité qu'il avait un jour habité ses yeux semblait effacée, anhilée par une neutralité apparente des plus reffroidissantes. Aurélien hésita un instant. L'empereur avait répondu a son invitation. Mais cet homme, ou ce Dieu, s'il était Klev, ne l'avait pas reconnu. Aurélien restait en supension, fixant cet humain debout sur le sol sableux qui tournait vers lui un regard de meurtrier. D'ici il semblait si petit. "Que veux-tu ?" murmura une voix semblable a celle de Klev, semblant amplifiée par la vallée ou par la citadelle.

Objet : canne

L'homme boiteux dont la canne rend la vitesse de déplacement divine tout en minimisant les frottements.

Objet : CD de réins les règles énergétiques pour tirer plus d'énergie des âmes. modifications, forcer sa synchronisation. Dépense de l'énergie chromique selon l'aire visée. Nécessite un lecteur de CD/DVD quelconque pour être activé.

Ce CD restaure dans Chromos tout ce qui est compris dans un périmètre pensé par son posseseur, en échange d'énergie Chromique. Il pourrait peut être, en plus de forcer la synchronisation,

permettre de faire des points de restauration.

Objet : bille. Pouvoir : peut savoir quand elle est regardée, peu importe comment et la distance.

La fin d'une ère

Bacrima était épuisé, son combat avec Klev l'avait presque tué. Il était assi sur cette colline, regardant la citadelle s'éffondrer doucement. Alia posa sa tête sur son épaule, souriante. Dans ses bras se trémoussait un petit être, un enfant. Bacrima regarda Alia, l'enfant, puis de nouveau Alia. Il lui sourit, elle lui sourit. Ils s'embrassèrent. Levant les yeux au ciel quelque chose attira son attention, portant sa main en visière il vit un objet se mouvoir dans le ciel, c'était … un oiseau ! Qu'est-ce que … ? Il ne comprenait pas, mais apparement Klev avait bien plus modifier ce monde que quiconque aurait pu le croire. Bacrima sourit de plus bel, et pleura.

Adieu mon ami.

Variété et inclusivité

Au fait : on peut probablement ajouter plus de variété ethnique dans Chromos. Des racisés ça me semble important Freeman est noir, mais c'est le seul qu'on ait définit ainsi 😃

La mort de ma boxeuse

[Durant le combat contre l'un des six paladins] La boxeuse s'effondra à terre. Une expression paniquée passa sur le visage de Klev. « Non ! » L'attaque du Paladin avait perforé le gant de boxe de la boxeuse. En un instant, en une attaque qui aurait pu être esquivé. Klev derapa et tomba à genoux à côté d'elle. « Ça va aller… », dit-il. Son autre gant de boxe gisait plus loin, en miettes. Sa main gauche était libre… sa respiration semblait difficile. Klev lui prit la main. « Ça va aller. », redit-il. Il prit la main avec les deux siennes. Il fixait son visage. La boxeuse fit silencieusement et doucement un non de la tête. Klev sentit les larmes lui monter aux yeux, et embrumer sa vue. « Non… » La fille sourit doucement. « Ça va aller. », souffla t-elle avec difficulté. Klev se mordait la lèvre si fort, ça ne pouvait pas arriver. La boxeuse afficha l'espace d'un instant une expression douloureuse. Le creatif hoqueta un pleur. Elle parla faiblement. « Mon nom… Sarah. » Elle regardait Klev directement dans les yeux. Il fallut à ce dernier quelques secondes pour voir qu'elle avait cessé de respirer. Un râle de douleur monta de sa gorge. Le Paladin, a quelques mètres, entre-ouvrit la bouche, une expression de pitié et d'empathie sur le visage, puis chuchota : « Cessons-là ce combat… » Klev se mit a hoqueter à nouveau, puis passa sa main sur son propre visage, ses griffes déchirant et ouvrant la surface de sa peau. Il hurla, hurlait de désespoir. Puis il bondit comme un animal.

Le Paladin ne vit pas le geste venir. Trop lent. (Voila la mort traumatisante que tu voulais, je pense qu'elle est bien placée et bien tout court) Voui… heureusement la boxeuse a eu une longue vie je pense. Mourir au combat est peut-être le plus grand honneur de sa vie.

Dommage que Klev en sombre d'autant plus gravement, vu qu'il n'était pas préparé à sa mort (peut-on seulement se préparer à la mort ?)

Les motifs de Klev

Du coup au départ il se bat pour rendre le monde libertaire en son honneur . Puis il se rend compte qu'il n'y arrive pas et que ses méthodes sont bien trop radicales. Et s'isole pour oublier. Et là il se mure dans le déni, et construit son monde parfait. Motivé par l'amour d'un être perdu lui aussi, il en créé la fusion entre une copie et l'enfant idéal qu'ils voulaient à deux. Mais, là aussi, il ne veut pas que cet enfant voit ce qu'il a fait, comment le monde est. Il prépare alors la destruction de Chromos pour le rebatir, mais il ne peut s'y résoudre. Et la préparation devient une attente lente, qui telle un auto-sabotage, une provocation aux rebelles de se manifester pour l'interrompre. Pour autant il ne veut pas accepter d'être la personne qu'il était avant. Et il l'a presque oublié… Quand ce Bacrima vient finalement le provoquer.