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Démon (Imaginaire Solveykielien)

11 octets supprimés, 30 mars 2016 à 15:35
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Dans l'[[Imaginaire Solveykielien]], un démon constitue une ethnie à part entière. La connotation péjorative qui pourrait en ressortir dépend essentiellement des préjugés des humains à ce sujet et des grands démons qui ont bouleversé l'Histoire de l'humanité.
=== Démon et démon, l'homonymie ===
* Durant l'ère dite démoniaque, qui précède l'[[Frise chronologique#Ère chaotique|ère chaotique]], dans un temps où l'humanité était fortement minoritaire, une espèce à part entière vit dans une globale stabilité. Cet élément n'est plus relaté dans les récits puisque la plupart des témoins de cette période ont disparu ou sont morts. Durant cette période, les individus appartenant à cette espèce sont nommés Démons, dont la majuscule apporte le caractère universel.
Note de principe : La différence entre Démon (espèce) et démon (individu d'une société violente) peut sembler manichéenne. Cependant, il est à noter que l'auteur discrimine toute sorte de radicalisation et de discrimination à l'encontre des démons, qui si besoin doivent être individuellement jugés pour leurs actes et non collectivement pour leur appartenance ethnique.
=== Les démons et la violence ===
De par ses origine, la société démone (si tant est qu'elle puisse en posséder le statut) est une société anomique et portée sur la violence. Dans ce groupement social, la loi du Talion prime et le fil de l'évolution a mené les démons les plus forts, les plus malins et les plus violents a survivre aux conditions environnementales. Certains traits de caractères violents sont donc devenus génétiques, renforcée par une éducation à la dure des jeunes démons, sans aucune compassion la plupart du temps. La violence est donc légitimée dans l'univers démon, tant par le système politique et social, l'environnement et les individus eux-mêmes.
En conséquence, l'auteur se défend de tout amalgame en ce qui concerne les démons.
=== Les démons et l'amour ===
De par la violence de leur société, la culture des démons légitime le viol. L'inceste et la pédophilie (faits jugés habituellement caractéristique des sociétés dites civilisées) sont pour eux un concept dont l'interdit est inconnu. Socialement, la culture de l'acte charnel est fortement dé-corrélée du sentiment d'attirance ou d'amour.
Enfin, sans entrer dans un débat sur l'appartenance philosophique ou non de la jalousie dans le cadre palpitant de l'amour, plusieurs démon(e)s se montrent possessifs dans l'usage et l'accumulation de leurs partenaires. Les couples libres, libertains, les tromperies (sans consentement donc), et les harems sont courants. Seulement, les normes égocentrées peuvent parfois mener un(e) démon(e) à en tuer un(e) autre par simple envie personnelle de disposer de son/sa/l'un de ses/l'une de ses compagnon(s)/compagne(s) pour assouvir une envie lambda. Cette pratique est souvent encouragée, car favorisant les confrontations entre démon(e)s et la perpétuation de l'espèce par la force et la violence.
=== Les démons et l'humanophobie ===
Certains démons, et c'est l'un des sujets de dissensions avec les anges et les Animaux, considèrent l'humanité comme faible et indigne. Ils n'ont pas plus de haine envers les humains qu'envers les démons les plus faibles, cela dit le fait que cela soit caractéristique d'une espèce entière a mené à une discrimination raciale et ethnique de grande envergure.
Tout aussi voire plus mal vu que d'éprouver des sentiments amoureux, les éprouver pour un humain est une marque de faiblesse plus grande encore. Les rares démons à l'avoir vécu n'ont souvent jamais plus pu faire face à leurs pairs, sauf quelques histoires exceptionnelles dans lesquelles ils se sont montrés plus puissants que tous. Seulement, ces histoires aussi romantiques que rares se sont soldées par des fins tragiques, puisque les humains mis en jeu ont toujours fini comme pions pour anéantir le pouvoir de leurs compagnon/compagne. La seule qui n'ait ni été achevée par une mort humaine ni par une vengeance réussie de démon a été l'amour à sens unique d'une démone pour le seul humain plus puissant qu'elle. Cet amour là n'a jamais été reconnu.
=== Les démons et le patriarcat/matriarcat, féminismes et histoires de genre ===
La société démone est et n'est pas tout à la fois patriarcale et matriarcale. En effet, presque tous/toutes les démon(e)s interrogé(es) sur le sujet ont leur propre conception, très souvent fortement liée à leur genre. Dans la mesure où cette société est culturellement égocentrique, les possesseurs du pouvoir ont pu changer du tout au tout, menant à une oscillation constante entre patriarcat et matriarcat, parfois en l'espace de quelques heures à peine.
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