Grand boulversement paradigmatique

D'Indexion
Révision datée du 16 janvier 2019 à 20:05 par Klev (discussion | contributions) (Page créée avec « {{modèle:ébauche}} Kajiko primordiale est orange vif/blanc et semble constituée d'énergie. Zerra primordiale est bleue-froid/blanche, semblant constituée de glace. Ka... »)
(diff) ← précédente | courante (diff) | suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher
Ébauche

Cette page n'est pas un torchon, mais n'est pas définitive et comporte des contenus tout aussi non définitifs.

Kajiko primordiale est orange vif/blanc et semble constituée d'énergie. Zerra primordiale est bleue-froid/blanche, semblant constituée de glace. Kajiko est l'idéale de la fusion, Zerra de la défusion. Ensemble, elles sortent les Idéal et les incarnent dans l'imaginaire. Mais ce travail les mène à être de plus en plus souvent éloignées.

Vient un jour où les deux se retrouvent. Kajiko et Zerra primordiales s'engueulent. Kajiko à démarré sa machine, et Zerra sent bien a quoi elle sert : refusionner les Idéales dans l'essence primordiale du tout. Kajiko ne se rend pas compte, altérée par l'imaginaire, que c'est contraire à ce que veut Zerra, et n'a en fait demandé d'avis à personne. Cela se passe au centre de ce qui est aujourd'hui le monde délabré où vit l'épeiste. Sur des îles volantes sont bâtis dimpressionnants bâtiments, ou humains et Idéales cohabitent. Ici et là des cristaux impressionnants flottent au milieu des airs.

L'île centrale est recouverte en son centre d'un massif bâtiment. Au milieu duquel Kajiko à construit sa machine. Zerra lutte contre le processus de fusion, mais il a déjà eu le temps de renvoyer là d'où ils viennent plus de 99% des Idéales. Se faisant, Kajiko elle aussi lutte pour que la machine continue son œuvre. Les deux entre en opposition totale, la machine amplifiant le phénomène à un niveau cosmologique. Quand survint une explosion effroyable : une cission telle que l'île centrale est scindée en deux verticalement quasiment en ligne droite. En un instant, tout éclate, les îles, les temples, les cristaux ; tous brisés dans un silence de mort sur tout l'espace de ce monde. La scisssure dépasse pourtant le simple monde, puisqu'à cet instant là cosmologie garde la trace de l'opposition du froid et de la chaleur : et comme un traumatisme, garde la reviviscence de la puissance de l'événement des lors que les deux épicentres de ces deux phénomènes sont au même endroit.

Une jeune enfant se réveille quelques heures ou millénaires plus tard, seule au milieu des décombres. A ses côtés, une épée. Mais ses deux parents ne sont plus là.