Texte:Fille du Destin

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Fille du destin


Elle courrait.


Il y a un monde, un monde au delà des mondes, ou peut être un monde existant de façon croisé avec les autres, parmi d'autres mondes croisés.
Dans ce monde, il n'y a que peu de choses.
Les palais y sont en miettes, les continents sont des îles flottantes dans le ciel, brisées. Le monde est un disque flottant au dessus d'une mer de nuages, en dessous d'une mer de nuages où claire parfois un soleil radieux au milieu de grands écarts bleus. Le monde est un disque composé de morceaux d'un monde brisé, de morceaux flottants dans l'air au gré d'un courant presque éteint. Le monde est fait de terre, de pierre, parfois de blocs de cristaux de couleurs variées…
Ce monde est son monde a elle. Elle le sait, en est convaincue.
Et il est brisé.
Et, chaque jour est pour elle un temps de solitude. Chaque instant est une douleur nostalgique. Car ses souvenirs flottent ici tels les débris du monde qu'elle a connu.
Elle est seule. Quand il n'est pas là.


Parer un pic. Du fil de son épée.
De tous les mondes, seule elle pouvait manier cette lame là.


Lui, qui amenait le mal noir. Un homme de sa taille, quoique peut-être un peu plus grand ou plus petit. Un homme aux cheveux impeccablement tirés en arrière, en une queue qui pendait sur une petite quinzaine de centimètres.
Un homme au regard fou, follement amusé, et malsain. Un homme fait dans la matière qui constitue l'assentiment.
Pas plus épais qu'elle.
De son dos sortait les pics noirs. Ces pics effilés, de l'épaisseur d'un cheveu, qui pouvaient trancher tout ce qu'ils rencontraient. Tout, tout pouvait être rompu, coupé, incisé, tranché net, par ces pics. Toute matière. Toute les matières de tout les mondes.
Un objet était pourtant si immuable qu'il pouvait parer les pics de cet homme.


Parer un pic, en repousser un autre comme on se jouerait de la force d'une plume.
Elle maniait l'épée comme il maniait les pics.


Ses pics sortaient de son dos, et il les maîtrisait comme on maîtrisait ses bras. Partout où il les abattait, les débris des mondes étaient réduits en charpie.


Elle maîtrisait son épée comme on maîtrisait sa pensée. Le tranchant de la lame, longue de plus d'un bras, largue comme deux doigts, et épaisse comme un seul, était la seule chose qui résistait face a l'absolu du tranchant des pics noirs. La garde d'argent et le joyau rouge cintré au milieu de la garde n'avait rien de merveilleux a côté de l'infinie grâce de ses mouvements.
Infinie car lorsque qu'elle paraît les pics, on ne la voyait pas bouger.
Seul était visible l'instant où la lame paraît le pic. Ou l'acier s'entrechoquait contre la noirceur.


Jamais il ne la battrait. Pourtant le défi que le combat contre elle lui imposait était pour lui des plus amusants.


Entre ces instants parfois son corps bougeait de façon visible pour assurer la meilleure pose. Elle était tout en finesses et en efficacité. Son corps était aussi aiguisé que la lame, aussi efficace que le tranchant de cette dernière était parfait, aussi indiscernable que la force qui l'animait elle.


Jour après jour elle voyageait dans les restes de ce monde.
Et elle ne pouvait rien faire d'autre que combattre cet homme.


Elle courrait.


Ses vêtements taillés pour la vitesse, noirs brodés de dorures effacées par la poussière, ne freinaient en rien ses mouvements.


Et s’arrêta au bord d'un îlot flottant. Ses longs cheveux blonds volaient face au vent en provenance du vide face à elle. Devant elle, a perte de vue, des débris. Des tours en miettes, des morceaux de terre a la dérive, des éclats de cristaux a la dérive. Son regard se pose sur le royaume déchu qui lui semble avoir été si prospère.

Elle ne se souvient pas.

Mais elle sait. Elle sait qu'un jour ici des enfants ont couru. Et cet homme qui n'avait de cesse de trancher les choses, et qu'elle n'avait de cesse de combattre, il ne pouvait être que le destructeur de ce monde, et peut être d'autres mondes.


Elle le détestait. Elle détestait chaque coupure qu'elle voyait sur les résidus de son passé. Chaque instant quand elle le combattait, elle se retenait intérieurement de lui hurler toutes les raisons qui la poussait a le détester. Lui, cet égoïste, et elle, … l'épéiste.

Elle regarda la lame qui était retenue a sa ceinture par un fourreau qui n'en couvrait qu'une petite partie.

Il y eut un sifflement. Elle l'avait dégainée. Elle contemplait le plat de la longue et fine lame, ou d'incompréhensibles inscriptions poinçonnées courraient sur un tiers de sa longueur. Le rubis enchâssé à l'intérieur de la garde argentée lui refléta le soleil.

Elle était l'épéiste. Elle ferait ce pourquoi elle était encore en vie malgré sa solitude pesante.


Elle courait.


Elle courrait. Jusqu'au bord du monde s'il le fallait. Son univers avait volé en morceaux.

Elle le revoyait lui crier dessus. Il était parti. Elle l'avait blessé, et il était parti. Où était-il parti ? Elle sentait quelque chose brûler en elle et écraser tout ce qui faisait ce qu'elle était.

Les débris voletaient, toujours plus épars.

Elle courrait, et le bord du monde était beaucoup moins loin que ce qu'elle pensait. Trois jours seulement. Elle le voyait déjà, ce bord du monde. Décevant, et vide.

Elle ne cesserait de courir. Quelque chose de pire encore que le désespoir l'appelait au désespoir.

À grandes foulées, elle s'approchait du bord de son monde. En face, il n'y aurait bientôt plus qu'un vide, tout aussi dénué de sens et d'importance que ce qu'elle avait l'impression que l'univers essayait de lui dire a propos d'elle.

Elle ne cessait de courir. Courir, courir. Ses membres ne faisaient qu'un dans son but ; courir.

Et le bord du monde était a deux pas ; qu'elle franchit sans s'arrêter.

Elle ne s'arrêta pas au bord du monde.

Sa course l'entraîna, l'entraîna, devant, dans le vide.

Elle hurla. Elle hurlait à plein poumons. Elle hurlait sa rage au monde. A tout ce qui existait encore, elle lui adressait un message clair et ardent, qu'elle voulait que l'univers comprenne malgré la tournure interrogative ;

« POURQUOI ?! »

Et la gravité reprit ses droits.


Et quelque chose se produisit.


« Pourquoi cours-tu ? »


Le message était clair. La voix, masculine, calme, et posée.

Elle avait changé d'endroit. A quatre pattes sur le sol. Un sol froid. Pas glacial, juste froid. Cuivré… ou bien gris foncé, couleur acier. Elle n'arrivait pas à trancher.

Elle détailla son environnement.

Autour d'elle, dans une danse lente mais qui semblait interminable et parfaitement optimisée, des engrenages et des mécanismes gigantesques, vraiment gigantesques, pivotaient, tournaient sur eux-mêmes, se mouvaient avec harmonie et force. Elle était elle-même sur un de ces engrenages,… plus petit que les autres. Derrière les mécanismes, un ciel bleu pointait par endroits. Et en face d'elle, sur un siège, non, un trône, se tenait un homme. Non… c'était lui ? Il lui ressemblait. Pourtant, il était clair que ce n'était pas lui. Il était … différent. Son attitude… elle ne savait pas comment le dire, mais son attitude lui semblait encore plus distante que celle de celui qu'elle avait combattue jusqu'à là. Ses vêtements étaient pourtant du même genre ; noirs. Quoique plus amples. Et il se tenait parfaitement immobile, le coude sur l'accoudoir, la tête appuyée par sa joue sur son poing. Pas même un souffle.

L'Épéiste le fixait dans les yeux.

« Pourquoi cours-tu ? » répéta l'homme, ouvrant a peine la bouche pour parler.

L'épéiste parla. « Pourquoi est-il parti ? Pourquoi ? Quelle est la finalité de tout ça ? »

« Il n'y a aucune finalité. Pas pour toi. » Le ton était calme, sans appel. C'en était désarmant. Mais elle ne laisserait pas tomber. Elle ne pouvait pas.

« Je veux qu'il paye. Qu'il paye pour tout ce qu'il a fait a mon monde. »

« Il ne payera pas. »

« Pourquoi ?! »

« Par ce qu'il n'a rien à payer. »

L'épéiste n'était pas sûr d'avoir compris s'il n'avait rien à payer, ou s'il n'y avait rien à payer.

« Qui êtes-vous ? »

« Je suis l'architecte. »

« Pourquoi n'a-t-il rien à payer ? »

« Par ce qu'il n'y a rien à payer. »

L'Épéiste enrageait. « POURQUOI ?! »

Son cri résonna un peu.

« Par ce qu'il n'a jamais détruit ton monde. Ton monde n'a jamais été construit. Il existe pour être déconstruit. »

L'Épéiste ne trouvait rien a répondre. Elle ne pouvait simplement pas comprendre ça.

Mais l'Architecte semblait avoir compris sa pensée sans qu'elle la formule. « Par ce que ce monde existe juste pour qu'il vienne s'y battre, pour que tu le combattes, avec la rage du désespoir d'avoir tout perdu. »

Elle restait immobile.

« C'est pour ça que tes souvenirs te semblent si diffus et inconsistants. Par ce qu'ils ne sont que des fantômes de potentiels vagues implantés en toi a ta naissance. »

L'Architecte devinait ses interrogations en même temps qu'elle les découvrait.

Elle releva les yeux vers lui. Des yeux dans lesquels ne se lisaient même plus le désespoir.

Et son geste fusa. Incroyablement rapidement.

L'épée fut lancée en avant, droit devant elle, droit sur l'Architecte, dans un mouvement brutal, vif, parfait.

Il y eut un bruit impressionnant qui aurait couvert tout autre bruit. Mi mécanique, mi autre chose.


Et l'épée se figea dans un mur grisâtre, apparu entre elle et l'Architecte.

Non. L'Épéiste n'était plus devant l'architecte. Il l'avait déplacée ? Elle était dans un endroit qui ressemblaient a une suite de longs couloirs gris, son épée fichée dans un mur, mur qui avait été fissuré par la violence du choc.

L'Épéiste resta sans bouger un temps indéterminé.

Puis, elle s'avança brutalement vers son épée, et l'arracha du mur.


L'épéiste courrait.


Elle sautait d'anneaux de pierre en anneaux de pierre. Elle savait où les trouver.

Son épée se ficha dans la perle rose du cœur créatif de l'Intramonde.

La perle pulsa, puis les éclats qui volaient s'éteignirent.



M courrait. Jamais de sa vie il n'avait eu affaire a quelque chose d'aussi atypique.

Il sut fuir.



Perakine n'évita que de justesse le coup qui aurait pu lui être fatal.

Mais pas le suivant. La perle de son épaule fut brisée, et se retrouva dans le même état que la perle du Nexus Créatif.

Il poussa un cri qui ressemblait a un gémissement malgré son aspect titanesque.



A défendait ses positions avec son épée. Le second canaliseur de la matière lui appartenait, il le défendrait.

Elle le désarma rapidement après de vifs mouvements acharnés de la part des deux combatants, et lui passa sa lame dans le thorax dans le même mouvement.

A s'écroula. L'Épéiste perça le Nexus Créatif secondaire de son épée, brutalement.



Le Cristal de Cohérence, inusité, trônait sur son piédestal.

Elle le brisa d'un vif geste de l'épée. L'espace d'un instant, elle eut un petit vertige. Puis, le cristal tomba en morceaux dans le puis au-dessus duquel il reposait.




Elle évita le rayon d’énergie que Dirakine lui avait envoyé d'une habile esquive.

Et lui transperça le cristal sur son pectoral.

Dirakine poussa un long cri métallique plaintif avant de s'éteindre.




Elle l'avait retrouvé.

M était le seul a avoir su ruser suffisamment. Elle le regarda dans les yeux, et il fit de même.

Puis, elle empala le cristal qu'il tenait a la main.

M reçu une courte mais forte décharge, et lâcha les éclats, qui tombèrent sur le sol.


Le carnassier était là, dans son hôtel, observant la scène depuis la ballustrade. Elle le vit. Elle courut vers lui, et sauta pour traverser la distance.

Quand elle attérit vers lui, lame en avant, il para avec ses pics.

« Non mais, du calme !… »

Elle ne se calma pas le moins du monde. Le carnassier peinait, tellement l'épéiste était rapide. Il doutait de sa capacité a la contenir. La balustrade et les objets partaient en débris, en poussière.


Au bout d'un intense combat, elle lui perça le ventre. Le carnassier eut un air choqué, et s'effondra sur le sol après qu'elle ait retirée sa lame dans un mouvement gracieux.



Un autre personnage arriva alors, comme d'en haut et de nul part a la fois, le poing sur le sol, dégageant de la poussière que le combat entre le carnassier et l'Épéiste avait provoqué.

Il était comme lui… il avait les mêmes traits… moins marqués, mais plus fermes…

« Qui es-tu ? »

« Une partie d'un tout… »

L'épéiste n'en demanda pas plus, et fonça en avant.

L'idéal paraît efficacement les coups. Ses bras tintaient contre le métal de la lame.

Il était ralenti par le fait qu'il devait gérer l’énergie de l'Intramonde, et sa matière.

Ils combattirent de longues minutes.

Puis, le bras de l'idéal ripa.

L'épéiste en profitant vivement, plus attentive que l'éclair, pour faire un coup d'estoc en pleine poitrine. L'idéal ne put parer, la lame brisa son thorax en le perçant.

Il recula. Elle retirait déjà son épée.

Avant que l'idéal ne puisse dire quoi que ce soit, elle lui plantait son épée en plein visage.

Son visage se brisa lui aussi, craquelures sur craquelures. L'idéal bascula en arrière.

Et il constata qu'il n'aurait pas dû penser a quelque chose.



L'épéiste sentit le basculement. Elle ne vit pas le monde tourner, mais elle constata en retirant son épée du visage de cet homme qu'elle avait changé de monde.

Encore.

Elle se leva, et regarda la plaine infiniment plate qui l'entourait. L'herbe ondulait gentiment au vent.

Et un enfant arrivait vers elle.

Elle eut un haut le cœur. Un enfant qui semblait une copie conforme, en plus jeune, des deux hommes qu'elle venait de battre.

Non. De tuer.

L'enfant s'immobilise, a plusieurs mètres de l'idéal, brisé a plusieurs endroits. « Pourquoi tu as fait ça ? »

Son cri semblait désespéré.

Elle avance vers lui, soutenant son regard. « Pourquoi tu as tué l'idéal ? » Demande-t-il.

Elle pensa a son monde, dévasté.


L'Épéiste lève son épée.


Et frappe le visage de l'enfant du plat de cette dernière.

L'enfant s'écroula a terre, retourné sous la force du coup.

« Je le fais pour des gens comme toi. » L'Épéiste s'avança vers lui.


L'enfant regardait l'épéiste, l'impuissance peignant son visage.


L'Épéiste regardait l'enfant, et tout en faisant cela, leva de deux mains, pointe vers le bas, son épée au-dessus de la tête de l'enfant, qui ne pouvait même pas trahir le désespoir.


Elle prit une inspiration.



Il y eut un claquement terrible.



Un instant plus tard, elle était de retour sur l'engrenage gigantesque ou siégeait celui qui s'était présenté comme un architecte.

Elle était de côté, lui face à elle, toujours assis.

Elle lâcha l'épée de la main gauche, et la fit tourner de la droite pour la remettre dans le sens de l'usage, sans changer de position, ramenant la lame vers sa cuisse.

Il y eut un moment durant lequel seul le bruit de la lourde mécanique de l'Imaginaire produisait un son.

Puis, l'Architecte parla. Il semblait un peu plus blasé que la fois précédente. « Que veux-tu ? »

« Réparation. » Elle se tourna pour lui faire face, et le fixa dans les yeux.

« Je serais en droit de te demander de même. Tu as tué tellement de monde. »

Il y eut à nouveau un silence uniquement peuplé du son des engrenages.

Puis, l'Architecte se leva de son siège, sans toutefois afficher une seule once de crainte, et en descendit, avançant lentement et posément vers elle.

Elle craqua. Elle fonça en avant. Elle fonça sur lui.

L'Architecte joua des mécanismes pour la déplacer vers sa gauche. Elle projetait son épée en avant.

Au moment où la lame allait se ficher dans un engrenage près de derrière le trône, l'Architecte, toujours immobile, déplaça l'épeé pour la faire revenir derrière l'Épéiste.

La lame transperça le thorax de l'Épéiste par derrière.

Elle tomba en avant, comme au ralenti, choquée.

Puis, un très beau sourire s'afficha sur son visage. Elle était heureuse.

Et elle s'écroula en avant, sans un autre mouvement.

L'Architecte la regarda longtemps, sans comprendre, restant debout, le corps simplement tourné vers elle.



Texte daté de date inconnue.
<spoiler>Lors d'un combat, la fille blesse le carnassier en dessous du cou. C'est une plaie profonde, ce dernier doit se retirer.

Elle parvient ensuite a se rendre jusqu'à l'architecte. Elle demande a ce que le carnassier paye pour ses actes (contre son monde). L'architecte lui dira que le carnassier n'a jamais détruit son monde, et lui expliquera que tout ce qu'elle pense être vrai est un mensonge monté de toutes pièces pour qu'elle soit combattive.

Elle tentera de lancer son épée dans la direction de l'architecte. Ce dernier, en moins de temps qu'il faut pour le dire, la fera pivoter elle et son épée sur les axes transversaux et la fera atterrir dans le labyrinthe gris, ou son épée se fichera dans un mur.

Par la suite, l'épéiste brisera le Nexus Créatif, de rage, et se mettra en quête d'anéantir tous les canaliseurs afin d'obtenir vengeance et réparation.

Elle cassera ensuite le cristal de M. Puis Palkia, en brisant son épaule gauche. Puis elle tuera A en lui perçant la poitrine. Puis elle brisera le cristal de cohérence. Puis Dialga.

En combattant M, elle retrouvera le carnassier. Dans sa rage, elle le tuera en lui perçant le ventre.

Suite de quoi, Klev-idéal se sentira obligé d'intervenir. Les deux combattront, mais la rage de la fille dépassera l'efficacité de l'idéal. Elle lui percera la poitrine et en cassa une partie, puis lui enfoncera l'épée en plein visage, le brisant également. Dans sa chute en arrière, l'idéal basculera stupidement vers l'Opositis.

Klev-enfant lui criera dessus en lui demandant pourquoi elle fait tout ça. L'épéiste lui frappera violemment la joue du plat de l'épée en le faisant tomber a terre, et répondra « Je le fais pour des gens comme toi », en levant son épée a deux mains pour lui transpercer le visage.

L'architecte la fera alors revenir vers lui, et lui demandera ce qu'elle veut. « Réparation. » « Je serais en droit de te demander de même. Tu as tué tellement de monde. » Suite de quoi, il restera pensif un certain temps, avant de se lever et d'avancer vers elle. Elle foncera sur lui. L'architecte jouera des axes et la décalera vers la gauche, cependant elle jeteraa son épée en avant. Au moment ou la lame allait se ficher dans un engrenage, l'architecte la déplacera pour la faire revenir derrière l'épéiste, dont elle transpercera la poitrine par derrière. L'épéiste tombera en avant, comme au ralenti, tout d'abord choquée, puis avec un très beau sourire. L'architecte restera debout, sans comprendre.

Palkia sera guéri a distance par l'architecte, tout comme Dialga. A sera oublié. L'idéal sera laissé tel quel et attendra réparations de la part de quiconque pourrait. Le Nexus créatif et le cristal de M sera reconstruit, et fusionné avec celui de la cathédrale. Le carnassier renaitra sous une forme différente.

L'histoire ne dit pas si quelque chose sera changé au monde de l'épéiste.</spoiler>

Ce texte possède comme protagoniste l'Épéiste.