Texte:Moe

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Moe est une histoire se déroulant dans un des monde de l'Imaginaire Bacrimien.

C'est la seul œuvre à caractère pornographique de l'Imaginaire Bacrimien dévoilée à ce jour.

Moe


La jeune et charmante femme dansait sur scène.

Sa voix mélodieuse enjôlait les hommes venu l'admirer.

Son cosplay affriolant excitait le public.

Sur des paroles d'un niais plus que candide, elle laissait les spectateurs admirer ses formes de tout leur saoul.

Elle était l'incarnation d'une idole en deux dimensions.

Le rêve ultime de pureté pour tous ces hommes.

Elle finit la chanson, et croulât sous les applaudissements.

Mais elle le savait, ce n'était pas elle que l'on applaudissait, c'était son costume, son magnifiquement horrible costume.

Qui avait pu imaginer un costume si écœurant ?

La robe rose et blanche brodée de dentelle laissait apparaître sa culotte au moindre vol-au-vent, les roses cousues sur le tissu, le serre-tête, le grand nœud dans le dos, et ce foutu bâton magique sur lequel elle était censé montée à califourchon … Tout cela était TROP !!!!

Prenant des poses suggestives elle se préparait à la suite du spectacle.

Un homme déguisé en extraterrestre apparu sur scène, indescriptible mélange d'animaux marins.

Elle brandit confiante son bâton magique dans sa direction.

Récitant de mémoire une formule sans queue ni tête, les effets spéciaux firent le reste.

Le combat dura vingt minutes, durant lequel se déroulât l'habituel prise de pouvoir du méchant sur la gentille.

Il la tenant à sa merci dans une position indécente, ses tentacules circulaient partout sur elle, partout.

Elle gémissait pour suivre le scripte.

Puis elle se libérait et finissait le combat avec la moitié de ses vêtements déchirés.

Comme à l'accoutumé ….



Le spectacle enfin finit la jeune pseudo-héroïne put se rendre dans sa loge où son patron la félicita pour sa nième représentation.

Ce porc vénal n'avait que faire de la pauvre fille qu'il exploitait.

Il dit :

— « Tu me semble prête pour la suite.

— Quelle suite ? » Demanda angoissé la jeune femme.

L'homme n'avait pas répondu.



Le directeur l'amena dans une chambre après qu'elle eut enfilé un costume non-déchiré.

Un homme les attendait là.

Le directeur referma la porte sur le couple et tourna la clef dans la serrure.

Seul face à face.

L'homme s'approcha d'elle.

Elle n'osait pas imaginer ce qui allait se passer, elle ne voulait pas y croire.

L'homme était beau. Il sourit à la jeune femme et l'invitât à s’asseoir.

Elle avait peur, elle était tendue.

L'homme s'éloigna, il remplit deux verres d'un alcool qui sentait fort, même à deux mètre, puis avant de l’apporter à la jeune femme, il alluma la chaîne hifi qui se trouvait là.

Une mélodie romantique s'éleva doucement.

Il offrit le verre à la jeune femme qui le but d'un coup pour se donner des forces.

Elle savait qu'elle ne pouvait pas y échapper … Elle voulait oublier tout ce qui pourrait se passer dans cette chambre.

L'homme l’invitât à danser. Ils valsèrent un temps. Le temps que la drogue fasse effet.



La jeune femme avait chaud.

Elle se rapprocha de l'homme qui la serrait dans ses bras.

Il était fort et son odeur la rendait toute chose.

La tête lui tourna et elle demanda à ce que l'homme l'assoit sur le lit.

Les joues rouges, le souffle rapide, elle se laissa tomber sur le lit.

L'homme faussement inquiet lui demanda :



— « Vous allez bien ? »



Elle se dit pourtant, « Quel homme attentionné. »

Il était si proche, ses bras qui l'avaient saisie étaient si puissants, sa bouche était si sensuelle.

Subjuguée par sa beauté elle ne remarqua même pas qu'elle se rapprochait de ses lèvres.

Elle avait si chaud...

Elle plongea ses yeux dans ceux de l'homme.

Elle ferma les yeux pour savourer ce moment doux et léger.

Leurs lèvres entrèrent en contact.

Le baiser fut long et torride, elle sentait son corps devenir de plus en plus chaud.

Elle voulait plus et l'homme ne la déçut pas.

Alors que leur étreint se prolongeait l'homme se releva presque brusquement, il s’installa à cheval au-dessus de la jeune femme et entrepris de défaire ses vêtements.

Leurs baisers s’intensifiaient à chaque fois.

L'homme fit glisser l'extrémité de ses doigts sur la poitrine de la femme.

Celle-ci fut parcourue par un frisson de plaisir. Plus l'homme continuait et plus la femme se contractait violement au passage de ses doigts.

Elle gémissait vraiment cette fois.

Leurs regards, échange muet, assuraient à chacun que l'autre prenait plaisir à ce jeux.

L'homme embrassa la femme dans le cou, puis il l'embrassa sur l'épaule, il embrassa ses seins, il descendit jusqu'à son ventre.

La femme qui lui avait retiré son costume depuis un moment palpait les merveilleux pectoraux de l'homme.

Elle était rouge et avait chaud, si chaud …

Les mains de l'homme s'aventurèrent de plus en plus bas.

Elle sentit alors ceux-ci là où elle rêvait qu'ils se rendent …

Les doigts la narguèrent, s'approchant, la faisant espérer, puis s'éloignant …

Alors qu'elle ne s'y attendait pas ils frôlèrent la zone la plus sensible de son anatomie.

Elle gémit très fort.

Essoufflé et en sueur elle embrassa fougueusement l'homme.

Les doigts la pénétrèrent, elle gémit de nouveau.

L'homme qui n'avait cessé d'embrasser chaque partie de son corps se rapprocha sensible ment de son sexe mouillé.

Ce fut une explosion de sensation lorsqu’il la lécha.

Elle se sentit partir,



— « Non, disait-elle, pas ici, c’est trop … AHAHA !!! »



Plus elle le repoussait et plus il intensifiait son étrange baiser.

Son sexe était brûlant, elle était saoul de plaisir.

L’homme se redressa, et présenta son sexe à la jeune femme en chaleur, sans réfléchir elle l’empoigna et commença un mouvement de vas et viens.

L’homme y prenait beaucoup de plaisir, lorsqu’elle s’en rendit compte elle joua avec le plaisir de l’homme, s’arrêtant, reprenant, … Cela l’excitait encore plus.

Les doigts de l’homme ne lui suffisaient plus, et elle le lui fit comprendre.

Immédiatement l’homme commença à s’acquitter de sa tâche.

Il la pénétra doucement, puis se retira, et revint à la charge.

Plus fort, plus vite, le plaisir montait des deux côtés, les drogues aidant, l’orgasme n’était pas loin.

La jeune femme hurlait de plaisir, l’homme aussi, il laissa son liquide chaud s’écouler en elle, elle le sentit …

Les yeux dans les yeux, les mains dans les mains, ils se regardèrent nues, et ensembles, ils s’endormirent le sourire aux lèvres.





FIN



Texte daté de date inconnue.