Chtuhluh de Phaeroh (JDR)

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TW : violence physique, malêtre psychologique, contrôle mental, psychophobie

Mon perso

"Tu es un étudiant en première année de licence de psychologie, tes parents n'ont pas vraiment les moyens de tout te financer mais sont à la limite pour que tu aies droit à une vraie bourse, ils peuvent donc payer ton loyer mais tu es obligé de travailler en parallèle pour la nourriture et les extras. Tu fais de petits travaux çà et là mais tu t'es surtout inscrit en interim pour pouvoir faire des missions en weekend, le soir ou pendant tes vacances. Te voilà donc à faire un inventaire, une des tâches les plus courantes pour toi. Tu as tout de même hésité à accepter ce boulot car il a lieu au magasin "Alice Epices" qui n'a pas une très bonne réputation. Et surtout, ta soeur y travaillait jusqu'à son récent suicide. Pourtant, elle semblait apprécier ce travail et son suicide n'a pas l'air lié. D'ailleurs, tu ne comprends pas vraiment à quoi il est dû : elle ne montrait absolument aucun signe de dépression ou de quoi que ce soit pouvant mener à un tel geste. Bien au contraire, elle semblait même particulièrement épanouie depuis quelque temps, ne s'inquiétant plus de ses quelques dettes ou petits soucis de santé (elle avait des douleurs chroniques au dos que son boulot de caissière n'aidaient pas beaucoup), les tensions dans son couple ayant eux aussi disparus. D'ailleurs, elle devait même se marier avec sa petite-amie l'année prochaine... Rien n'explique donc qu'elle ai pu se jeter ainsi sous ce train. Les témoins sont unanimes : elle semble plutôt être tombée sur la voie que d'avoir sauté volontairement. Mais une fois sur les rails, elle n'a pas cherché à remonter malgré les appels de certains présents et a simplement regardé le train courir vers elle, ce pourquoi on a conclu à un suicide..."

Je m'appelle Victor ! Ma sœur Sania, et sa copine Marie.


Mes caractéristiques : étudiant en psychologie/rapide/intelligent


Début de l'histoire

Nous sommes à l'inventaire de Alice Épice. 30 personnes au début. On a tous fait des erreurs de comptage, c'est mal rangé... on est tous fatigués. On pensait avoir fini, mais la responsable de l'inventaire vient voir Morgane pour dire que la réserve n'a pas été faite. On se retrouve à encore plus de boulot avec du n'importe quoi. Aliments périmés. Avantage : la poubelle y est. Inconvénient : ça pue, on est fatigué, c'est sombre et humide... Il y a un son de tac-tac. La lumière s'éteint. Patrick part pour réenclencher le disjoncteur (toutes les 15 min). Alors il aperçoit un petit mouvement furtif du coin de l'œil. Il croit que c'est moi. Je lui dis que c'est pas moi, je recompte les sardines. Il allume et revient. Je suis obligé de recompter les sardines à cause de la lumière éteinte. On arrive au bout, Camille la responsable n'est pas revenue alors qu'elle avait promis de le faire. On va sortir et l'appeler. Patrick dit que j'ai bien travaillé et les autres aussi. Il dit qu'ils font des inventaires tous les trois mois. Nathalie a son portable qui vibre : elle a reçu le message "OK.Pas la peine de t'énerver, je voulais juste passer un peu de temps avec toi. Je t'attends, envoie-moi un message quand tu as fini" de la part d'Eric, son petit ami de Paris qui vit à distance. Mais elle ne voit pas de quoi il parle, elle ne connait pas ça. Patrick veut nous offrir un produit, mais c'est pas très régulier. Il offre un magnum à tout le monde. Je demande si il y a du monde dans ce magasin, et si l'ambiance est bonne (en rebondissant sur le fait que ce soit "familial"). Je ne trouve pas ça logique. Il dit qu'ils sont pas traités comme des numéros, et que y a de bonnes perspectives d'avenir. On apprend qu'il est là depuis un an. Et que le magasin existe depuis deux ans, c'est un magasin en pleine grosse zone industrielle par contre, dans un cul de sac. Il dit qu'il y est bien. Ils disent qu'il y en a 30. Je dis 29, puis on m'interroge. Je révèle la mort de ma sœur Sania, il y a 3 semaines (un dimanche).

Patrick appelle la responsable, mais elle ne répond pas. On va essayer de voir à son bureau (vu que la directrice + la responsable sont censées rester). On traverse tout le magasin. Il y fait sombre, on arrive à une porte "accès réservé". On sait qu'il y a les caméras de sécurité qui y sont gérées. Pas de lumière, il y fait très sombre dans ce couloir. Lumière bleuâtre électronique derrière la porte en face. On y va à la lueur des téléphones en attendant que Patrick trouve l'interrupteur. Alors ça s'allume. Sur les côtés, salle de pause et de réunion. Quelqu'un frappe, pas de réponse. Patrick ouvre la porte, et la lumière du couloir permet de voir que la pièce est vide sauf une forme recroquevillée dans l'ombre + forte odeur de sang. Il y a le corps de Camille étalée au centre sur le ventre, elle est couverte de sang et a les yeux grands ouverts sur le vide, morte effrayée. Elle semble avoir la main crispée. On panique tous, sauf Patrick. Puis ça décroche. Ils lui demandent de vérifier si elle respire, elle ne répond pas. Elle ne respire pas quand il vérifie, et elle a le visage crispé, elle a l'air morte. On dit qu'il faut qu'on parte ! Patrick dit qu'on doit se calmer. On est restés ensemble donc c'est pas nous. On appelle la police, qui envoie du monde. On doit rester calme et dans un endroit où il y a de la lumière, groupés. On ne doit pas sortir si l'endroit est sécurisé. On va sur le parking. Chloé va dans le pc sécurité, mais on la dissuade. On va tous dehors, mais Chloé voit les camera actives allumées et elle tente d'y voir quelque chose. Elle ne voit rien de particulier sur les camera, mais il n'y a pas de camera dans la zone du personnel (partout ailleurs). On tente de sortir par la porte du personnel, qui est fermé à clef. On discute de ce que l'on doit faire. Morgane tente de trouver le plan, elle ne le comprend pas. Il n'est pas aux normes. Chloé tente de défoncer la porte, elle réussit à l'entamer, mais ça explose la poignée. Mais pas le verrou. Je cherche autour de moi de quoi nous défendre, et Morgane rappelle les pompiers pour les prévenir qu'on est bloqués dans l'entrée du personnel, ils disent qu'ils seront là dans 5 minutes. J'ai trouvé l'extincteur comme seule défense, et garde le téléphone dans une main. On arrive dans le magasin. On entend alors la police, et on voit les lumières de la police. On est soulagés. On voit vaguement la forme d'une voiture. Ceux du côté des vitres regardent à travers la vitre, mais Patrick ne voit rien. Nathalie voit un policier qui se tient à 3 m devant la voiture, il y a une autre personne dans la voiture qui ne bouge pas. Chloé voit la même chose. On tambourine. Morgane de son côté appelle la police, mais il dit qu'il y a peut-être un problème, il va les contacter. Chloé dit que les personnes dehors ne sont pas vivantes. De son côté, la police dit qu'elle n'arrive pas à les avoir, elle renvoie quelqu'un d'autre. Chloé de leur côté nous dit que leur allure n'est pas vivante. Je jette un œil, je vois aussi que tout le monde est immobile. J'ai la même impression qu'elles. Certains tambourinent, alors on entend du verre qui se brise (type bouteille). Il faut qu'on s'éloigne. Patrick va rejoindre Morgane, qui pense que c'est une prise d'otage. Chloé voit qu'on est pas loin du rayon accessoire de cuisine, je l'accompagne. On entend alors la sirène de pompiers. Le véhicule s'arrête à même hauteur que les policiers. Nathalie se pique avec une aiguille, Patrick trouve une boite de conserve, mais voit un petit mouvement furtif du coin de l'œil. Il se rend compte qu'il y avait le clignotement de la camera. Je demande s'il n'y a pas moyen d'allumer le magasin. Nathalie renvoie un SMS à son copain, mais Patrick dit que quelqu'un les regarde. Mais Nathalie ne voit rien.

Je regarde les pompiers. Je ne vois rien, mais je ne me sens pas bien. Chloé a vu un pompier rapproché des policiers et un pompier proche du magasin, les deux sont immobiles. Je prends de la nourriture au hasard, et suis le groupe. Patrick réussit à ouvrir la porte. Chloé dit que les autres policiers finiront comme ceux déjà ici. On se bat pour savoir quoi faire. Nathalie sort direct, fait quelques pas puis finit par se sentir beaucoup mieux. Plus elle avance et plus elle se sent bien, en pleine béatitude absolue. Mais ensuite elle ralentit plein de fois. Puis elle ne bouge plus. Patrick, à peine il sort, ça va bien mieux, et il oublie les choses, il s'en fout, toutes ses peurs disparaissent. Morgane à son tour sort. Je lance à Patrick la tablette de chocolat, pour voir s'il réagit. Cela lui donne un petit sursaut de lucidité, il tente de choper Nathalie par le bras et le ramène dans le magasin. Elle n'a opposé aucune résistance. Patrick comprend, Nathalie réagit mais elle n'est pas consciente. Elle ne sait pas ce qu'elle fait.

On part se cloîtrer. Morgane nous demande de lui expliquer ce qu'on a vu. On va dans la salle des camera. Je regarde dans la pièce, il n'y a rien. Chloé se cogne un peu. Je ferme la porte, Patrick tente de calmer Nathalie. Je ferme le loquet, et Morgane retire sa surveste pour calfeutrer chimiquement. Morgane s'énerve au téléphone, Patrick s'énerve et tente de lui arracher le téléphone des mains. Il réussit et le fracasse au sol. Morgane s'énerve et avoue être journaliste. Chloé remarque sur une camera pas loin des bouteilles, une silhouette qui semble humaine, à l'angle. On ne voit pas complètement. On demande si elle a des compétences en info. J'essaie d'apaiser Nathalie, j'ai réussi mais je me suis pris un grand coup dans l'œil. Résultat elle tente d'utiliser ses compétences pour revenir en arrière sur les caméra. On cherche la caméra qui donne sur l'entrée des employés (pour voir le moment de la mort de la directrice). Chloé trouve le moment, mais c'est si furtif qu'on voit à peine la porte s'ouvrir et se refermer, vers minuit trente. Sachant qu'on a quitté la réserve à minuit cinquante. Je lance sous la panique l'idée que cette chose a tué ma sœur. Je raconte ce qui est arrivé à ma sœur. Je me rends compte que l'attitude de ma sœur correspond à la façon dont agissaient les policiers. Moi et Chloé sommes les seuls à bien comprendre ça. Nathalie reçoit un message de son copain disant qu'il va l'aider. Elle remet qui il est. Elle semble avoir des oublis réguliers. Elle appelle son copain. Elle tente de le convaincre de ne pas venir. Elle finit par remettre à sa demande le téléphone à Morgane, qui tente de le convaincre à son tour. Mais il panique et raccroche. Chloé montre la camera parking, les gens sont figés en pleine marche.

Nathalie se souvient s'être senti bien, et mal à partir du moment où elle est revenue à l'intérieur. On regarde les camera, je ne vois rien mais les filles voient que les oiseaux eux-même sont immobiles, posés au sol. Plus loins, les oiseaux bougent par contre. Chloé ne veut plus regarder les camera. Morgane dit qu'elle voit bien quelque chose. Chloé dit avoir vu une entité au niveau des silhouettes qui se superpose. Nathalie se recroqueville au sol, et Patrick aussi ne bouge pas. On va attendre le jour, d'après Patrick. La lumière dans le couloir s'éteint, du peu que l'on voit. On attend. Une voix dit "il y a quelqu'un ?". Elle prétend être Alice. Patrick force d'ouvrir, je tente de l'en empêcher mais échoue. C'est bien Alice. Mais il fait noir derrière. Elle prétend qu'on a rien à faire ici, veut qu'on parte. Elle recule, elle prétend ne pas nous connaitre. Nathalie sort, je tente de l'arrêter mais ne réussis pas. Alice en a peur. Elle semble ne rien savoir. On a fermé la porte derrière elles. Alice respire très fort. Elle dit "vous êtes venues pour moi, vous êtes venues pour me faire du mal c'est ça ?". Elle lui saute dessus, elle a tenté de lui donner un coup avec quelque chose au visage. En plein noir. Patrick ouvre la porte. Alice plante quelque chose dans le dos de Nathalie. Patrick tire Nathalie à l'intérieur, Alice tente de me planter, elle me plante un grand ciseau dans le bras. Je lâche la porte, et on voit qu'elle a du sang sur le bras. Je réussis à l'assommer à moitié, et referme la porte. Chloé tente de soigner Nathalie, elle réussit plus ou moins à bander la blessure. Nathalie dit qu'elle connaissait Alice, c'était une petite amie d'une connaissance. Patrick pense qu'elle a débloqué. À ce moment, on entend d'autres sirènes (Morgane parlait de les rappeler). Alors un fourgon plus blindé arrive, plus loin que les autres. Ils descendent, ils sont équipés, des vrais gendarmes, ils s'avancent vers le policiers, peu à peu, les personnes qui s'approchent ralentissent et s'arrêtent. Ceux au fourgon tentent de faire des gestes à ceux qui ne bougent plus. Je regarde les camera, je vois une silhouette humaine passer dans un rayon furtivement, et autre chose : dans la boulangerie, des petites formes sont figées, qui ressemblent à des petites souris, en pleine lumière, figées. Je me rends compte que ça progresse, et qu'on va finir immobiles tous !

Alors, la lumière s'éteint. J'ai toujours le téléphone, mais les camera sont out. On ne peut pas traverser le magasin. Patrick se demande si Alice Epice est construit sur un truc glauque, une mine de gaz hallucinatoire ou autre. On discute de sortir, on entend alors un gros Boum. Dans notre porte. Nathalie regarde dans la serrure, il y a un objet. On se prépare à taper en ouvrant, tout ce qu'on voit est un gros meuble, amas de bois. Patrick repose sa poele et tente de le pousser. On entend un grincement de porte, on voit Alice avec un bidon de produits ménagers et un bidons. Patrick court vers elle et fait un smatch. Il lui explose le crâne, elle tombe au sol. Il faut qu'on attache Alice, on se demande si elle est morte. Elle avait des allumettes sur elle. Morgane n'arrive pas à savoir si elle est vivante ou pas. Chloé va chercher avec Patrick des cables d'ordinateur. Ils attachent Alice, qui est amorphe. Je tente de calmer Alice qui est dans les nuages, et les autres cherchent des documents dans le bureau de la directrice. Morgane trouve des livres de compte, et voit que le magasin avait des dettes énormes, et que depuis 8 mois ça remontait, de façon spectaculaire (+50%, c'est même exponentiel). Chloé trouve un bloc note où sont des notes en écriture mécaniquement, avec marqué (plus ou moins effacés) : le mot entouré : "Hogin Utogh" + "c'est sans danger" "23... j'ai plus le choix" + "25/12 c'est un beau cadeau " + "Magasin = sanctuaire" + d'autres marques mais illisibles en l'état, c'était sur des pages plus loin. Je tente de les rejoindre avec Nathalie.

Je dis que les mouvements étaient plus furtifs que ceux d'Alice, donc que je reste inquiet. je cherche Hogin Utogh, je ne trouve rien, zéro résultats. Je panique complètement. Chloé tente de me calmer, elle réussit mais ça ne va pas, je ne laisserais personne toucher mon téléphone. Nathalie propose d'aller dehors pour se calmer. Les gens veulent qu'on sorte remettre du courant. On passe sur le côté.Toujours les sirènes qui hurlent. On arrive à la remise. Je dis que si quelqu'un agit bizarrement il faut le tenir et l'éloigner. On entre dans la remise, Patrick veut éclairer. Il calme Nathalie en la menaçant de lui donner un coup de poelle. Puis il rallume la lumière. Tout le magasin est rallumé cette fois, comme en plein jour. Il y a aussi le minuteur et la réserve de la pièce. On se sent plus serein. Mais quand la lumière revient, je vois une porte dans la réserve n'ai eu souvenir d'avoir eu cette porte.

Patrick propose de passer cette porte, et Nathalie a très envie d'y aller. Patrick l'interrompt et veut qu'on y aille méthodiquement. On récupère des extincteurs. Il y a un escalier qui descend, couvert de poussière. Mais il n'y a pas de sous-sol ici ! Nathalie descend innocemment. Il n'y a pas trace d'usage de l'escalier, pendant que Nathalie descend. Elle voit de la craie, avec un cercle en partie effacée. Je descends avec Patrick, et on finit par voir le grand cercle de craie, avec de la poussière dessus, pleins de symboles, une partie effacée, et au centre du cercle Nathalie est sur un cadavre ou un reste décomposé.

On pense qu'il y a eu un rituel ésotérique pour sauver le magasin. Dans un coin de la pièce, une petite table. Je vais la voir, il y a un cahier à la couverture toute gondolée par l'humidité, couvert de poussière, pages jaunes, donc il a salement pris. Il est gorgé, mais je tourne les pages qui sont un peu moisies. Je trouve un endroit avec un dessin qui ressemble au cercle. Je n'ose pas lire plus, je suis loin. Les autres lisent : le dessin est complet, c'est l'écriture d'Alice, il est marqué Hogin Utogh, et sur le cercle il y a marqué "cercle à la craie", "un sacrifice, n'importe lequel", "le sang de celui qui appelle", "définir le sanctuaire". On ne sait pas ce qu'il faut faire. Nathalie lit la page d'après : en gros, "reproduire" + "pas de sacrifice, tout sera annulé". Il faudrait donc refaire le cercle sans sacrifice. Je demande si quelqu'un peut virer le truc dégueu au centre, et si on peut refaire le cercle.

Pleins d'autres notes disant que c'est positif, que ça marche (ça couvre le bouquin). Nathalie tente de faire le dessin, elle reproduit le cercle à la perfection, et plus elle fait le cercle et plus elle se sent angoissée, elle se demande pourquoi elle fait ça. Mais elle se plaque au mur, elle est effrayée. On tente de la rassurer. Patrick essaie de la prendre dans ses bras, j'essaie de la calmer et Chloé aussi, mais elle réclame d'être laissée tranquille. Morgane aussi se sent mal. Alors on a une angoisse sourde qui monte, on est de plus en plus mal. Chloé se rend au centre du cercle et déclare "Ogin Utogh", et à ce moment elle reçoit un coup de panique à ce moment, puis ça passe. Puis elle demande que ça s'en aille. Je dis qu'il manque le sang de celui qui appelle. Elle s'entaille la main alors, et vient alors un cri qui est en nous, la luminosité baisse d'un coup, et on est super mal ! L'angoisse augmente. Je tente de revenir sur le cercle, m'entaille la main et crie "Hgotu Nigo". Je me demande alors si je dois en finir, je me sens de plus en plus, je n'ai qu'une envie de me planter le couteau dans le cœur. Les autres ont mal, et Patrick m'empêche de me tuer. Mais il se coupe lui aussi. Patrick a envie de me frapper, de tout détruire. Patrick pète la table à coup de poelle. Chloé tente d'effacer le cercle, et alors la douleur s'apaise.

Je m'effondre au sol. Et on se sent de mieux en mieux. On oublie tout, et on s'assoit là, on se sent bien, on n'a plus envie de bouger, et on sombre dans une béatitude éternelle.

FIN



Informations : Toutes les personnes présentes versant leur sang auraient suffi à finir le truc. Les infos étaient dans le PC. La créature effaçait les mauvais souvenirs, les gens sous son pouvoir (comme ma sœur) arrêtent de vivre. Alice savait que cette créature (Appelée Ogin Utogh) pouvait faire ça, ce qui attirerait les clients. En tuant Alice (= sanctuaire), tout va empirer. Les gens ne savaient pas que pleins de gens s'étaient suicidés ici, parce que la créature les a oubliés.

Plus on appelait des gens, plus il était puissant. Il nous a poussés à tuer Alice.

Si on refaisait le rituel (avec sacrifice et tout), cela nous aurait protégé temporairement en condamnant la ville. Puisque la créature peut rendre fou son invocateur mais pas le tuer.