Pics de la frustration

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Les pics, ici utilisés par le carnassier pour s'asseoir royalement
Les pics de la frustration, souvent appelés simplement les pics, sont des excroissances d'une matière inconnue, sortant du milieu du dos de leurs propriétaires respectifs, à savoir Klev-enfant et le carnassier. De l'épaisseur d'un cheveu et d'une largeur s'affinant en fonction de leur longueur elle même variable, effilés et toujours en lignes droites en dehors de leurs articulations fluctuantes, ils ont la particularité de pouvoir couper n'importe quelle matière à l'exception notable de l'Épée de l'Épéiste ayant la particularité de permettre de parer n'importe quoi.

Origine

Initialement, les pics de la frustration sont liés à Klev-enfant ; en effet, celui-ci s'est vu doté de ces pics dangereux ou inquiétants suite au fait que l'auteur ai ralenti sa mise au monde dans l'Intramonde, et que ce monde ai pour règle d'empirer, de rendre dangereux ou mauvais, les phénomènes lorsqu'ils sont ainsi contenus.

Possession légitime du carnassier

Le carnassier a aujourd'hui les pics à sa charge, exprimant ainsi les frustrations du groupe en devant canaliser les tensions destructrices de l'enfant et de l'auteur. En tant qu'adulte, malgré les apparences, il reste moins impulsif que l'enfant tout en contrôlant parfaitement les pics, a l'image du contrôle de l'Idéal sur son propre corps, alors que Klev-enfant a seulement un contrôle partiel des pics selon les moments, rendant le fait qu'il les ai en sa possession dangereux : d'où la nécessité d'un autre porteur pour les pics.

Ainsi, les pics sont normalement en possession du carnassier, bien qu'il puisse s'en séparer en les crachant sous la forme d'un cristal noir ressemblant a un éclat aux faces coupantes.

Utilisation par l'enfant

Que Klev-enfant possède ce cristal ou non, il peut selon les circonstances utiliser les pics malgré tout, puisqu'il peut tordre l'imaginaire. Utilisés ainsi, il est parfois arrivé que les pics de la frustration soient blancs. Cela a une fois permis l'élimination d'Oubli, qui avait sous estimé ce fait et sur estimé l'innocence de l'enfant à sa propre dangerosité, et une autre fois amené à une nouvelle destruction d'un Phobos ressuscité et empiré par le Chaos.