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Les Enfants de l'Argile (JDR)

2 063 octets ajoutés, 19 septembre 2021 à 14:15
La déchirure insurmontable/Une blessure de trop
Les autres discutent pour comprendre ce qui est arrivé, ils pensent à une téléportation de masse. Le reste me rejoint, et nous allons alors au castelet. On réveille à l'entrée un homme en armure, Morgloff est absent et refuse de nous dire pour les Crasmar. Mais je me présente.
Il déclare que je devais le dire plutôt ! Il va faire chercher ma famille, mais déclare qu'on ne doit pas entrer. Mon frère court en criant de joie, et demande à l'entrée avec fébrilité : "Si j'ai deux pièces et que j'en dépense trois, qu'est-ce qui reste ?"
Ma réponse immédiate : "toutes celles que tu as cachées sous le lit, bien sûr !". Mon frère crie de joie et ouvre la porte pour sauter dans mes bras. Je le salue avec chaleur.
Quand ma mère arrive, je me méfie (à cause de la démone). J'accepte le câlin de sa part, mais je suis plus froid. Je dis être fatigué, et qu'on doit discuter. Ma mère nous amène à une salle à manger. Quand ma fratrie me regarde, je souris, me montre joyeux. Mais je ne souris plus quand ils regardent ailleurs. La soupe servie est excellente ! (j'en mange 2 cuillères puis je n'ai plus fin, dégoûté). Je prétexte un manque d'appétit.
Yaael demande : Morgloff est parti il y a des mois pour sauver Graar, puis est revenu et encore reparti.
 
L'une des servantes s'assure que le repas me convient, et je constate que sa peau semble alléchante, elle me donne envie de la manger. Je demande à être amené à une chambre, je ne me sens vraiment pas bien. Ma petite sœur Myrtille m'accompagne en me tenant la main, ma mère nous emboîte le pas. Quand je me rends compte que mon appétit de sang est aussi fort avec ma petite sœur, je suis pris d'un violent dégoût. Je demande, un peu froid, à ma sœur de sortir, qu'elle demandera à Iola de lui lire une histoire plutôt qu'à moi. Si besoin, qu'elle n'hésite pas à frapper Yaael pour le faire pleurer, lui dis-je en plaisantant (à moitié). Seul avec Éléanore, je demande à ma mère si je ne suis pas d'elle. Elle pince ses lèvres, avant de me dire que je ne suis pas prêt. Elle prend alors congé.
 
 
 
NOTE : j'envisage de m'enfuir cette nuit. Mais, par crainte de ce que je vais faire, je pourrais demander à S'Orcha de passer la nuit à me garder. C'est le moins risqué. Sinon j'irai m'enfuir prendre l'air et testerai mes ailes.
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