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Les Enfants de l'Argile (JDR)

14 613 octets ajoutés, 1 décembre 2021 à 01:15
NOTES PERSOS POUR LA SUITE
Moi et Iola partons en avance, face à la cruauté de l'équipe. On avance. Iola soigne Isolde. Les gens demandent qui est Qwandalaeth, on leur explique. Iola termine ses statuettes.
 
=== La fin de Iola ===
 
Nous sommes en chemin vers le Primarbre. On discute de comment soigner Arauchnée et Chronozia.
On apprend qu'elles ont une perle, avec des pouvoirs divins. On demande à la voir. On parle de la perle, est-ce celle d'Onysséa ?
Je raconte ce dont je me rappelle, et pendant ce temps Théo lance des cailloux sur les animaux, mais on l'arrête. On discute des premiers dieux, du grand cataclysme. De Drohé. On parle de l'altération de Chronozia par le Grisombre. On parle de l'amour de Korellon. Arauchnée a emprisonné Chronozia dans le Primarbre. Elles semblent perverties. On mentionne Ticklyss, les Guenaudes qui l'ont pervertie. On discute de Vilgus, de notre voyage dans le passé, du pacte avec Vekna. On parle de la façon dont elle corrompt les gens. On parle de la façon dont elle tente de rendre les gens en colère contre elle.
 
Si le livre n'avait pas mentionné Yaael dans le passé, le père de Yaael n'aurait pas cherché à réaliser la prophétie et donc à l'envoyer dans le passé. On pense que Vekna a encore de l'espoir de le récupérer.
 
Je leur parle du Primarbre.
 
Mes parents sont Nocticula et Asmodée/Bellon, mais j'ai été porté par Malcanthet (ma sœur mère porteuse). Bellial a été porté par Nocticula.
 
Iola prie une heure pour faire des amulettes. Elle réussit à en faire 2. On arrive au Primarbre. Le Primarbre semble être troué, on suppose que Chronozia en est l'origine dans son combat avec Arauchnée.
 
Iola tente de se transformer en griffon, elle réussit avec brio, 8 mètres de long. Je monte sur son dos. Obérine écoute Iola et traduit. Elle s'envole. Je repère l'endroit qui avait permis de rentrer. Iola tente de repérer la salle où était Chronosia. Elle est recouverte, par un trou gigantesque. Il y a une énorme double porte fermée, ainsi qu'une autre ouverte avec de l'obscurité dans le lointain. On voit l'écorce de l'arbre. On est arrivés en 20 minutes.
On pousse la porte, mais elle ne bouge pas d'un centimètre.
Iola tente de pousser la porte avec sa forme volante. Mais ça ne bouge pas. Elle essaie avec Théo qui aide.
Ça s'entrouvre. Très grand couloir de marbre blanc. Avec des torches. Couloir sans bout, invisible. On se souvient qu'elle amène au Grisombre.
On avance. Pourtant le couloir est blanc. Au bout d'un grand temps, une heure ? Deux ? On arrive fatigués à une sortie. La lumière du jour est blafarde. Un trou gigantesque dont on sort. De derrière, l'arbre est différent, il semble gris, sec et mort.
On aperçoit les deux sœurs, sous forme de silhouettes prises dans cette écorce. Elles semblent toutes deux captives. Les arbres sont morts, l'herbe est rase, il fait froid. Ici c'est le crépuscule éternel.
 
On essaie de voir comment apposer la pierre et on propose de le faire aux deux. Théo ne remarque rien, mais entend dans le lointain un hurlement de loups. Mais elle n'en parle pas.
 
Je longe l'arbre pour aller vers les formes. Cela me rappelle Ella Ella. Elles sont mortes et immobiles, aucune vie à l'intérieur. Isolde tente de prier en sortant la perle, qui est plus petite qu'autrefois. Onysséa est une déesse du soin.
 
On va poser la perle au milieu entre les deux. On escalade les premières branches. Théo reste au sol en arrière. J'escalade avec brio, mais l'écorce se casse et les corps se fendillent.
Je m'écarte précipitamment, avec crainte. J'ai peur de devenir flamme !
La perle entre en contact avec l'une. En priant, rien ne se passe. Leur fille prie alors. Elle envisage même d'oublier tout le passé si elles se réconcilient.
On entend une voix féminine insulter Sabaah. Elle ne veut pas être approchée, ou on mourra.
Je vois dans le lointain un bref éclair qui frappe plus loin, et j'entends un hurlements de loups. On se rappelle que Ullr est le dieu de la chasse, emprisonné par Arauchnée ! On va tenter de le libérer.
De son côté Obérine tente une télépathie sur Chronozia. Elle reçoit comme réponse "dans le palais... je suis dans le palais... avancez dans le grisombre et trouvez-le".
Elle nous parle par Télépathie, et nous révèle en secret ce qu'a dit Chronozia.
Je parle en direction de Ullr, de façon à s'écarter de l'arbre et s'enfoncer dans le Grisombre.
 
L'herbe semble geler. Le paysage devient moins boisé, et bien plus angoissant. On entend en s'avançant dans une neige épaisse, des murmures en elfique de derrière la montagne. "Toi le semeur de mort, toi l'égorgeur, reste ici sous les tisselieux, repent toi. Un jour peut-être tu sortiras d'ici, quand tu deviendra un chien obéissant."
Je préviens Iola de s'apprêter à croiser les sœurs. Je préviens le reste du groupe de ce que sont les guenaudes. Puis je pars en éclaireur après que Iola ait lâché ma main.
On avance, j'hésite à partir en éclaireur mais je reviens. On finit par partir ensemble.
On observe un énorme loup tiré, attaché au sol par des fils avec une myriade d'araignées bleutées. Il hurle à nous en péter les tympans. Il gémit et bave.
Il reste fixé sur Sabaah. Les araignées retissent encore et encore. On parle à Ullr mais il est en colère. Il tente de nous manger.
L'épée de Théo se casse en tentant de couper une araignée. La lame a disparue.
Iola tente de parler aux araignées, mais n'a aucune réponse. Puis elle parle au loup. Il semble qu'il ait faim, après 2000 ans. Mais il ne veut pas manger Saabah. Celle-ci s'avance doucement. Il vient la sentir, elle tend le bout des doigts. Il pose son museau froid, gelé et humide et vient lui lécher les doigts.
Je propose qu'elle lui dise de nous laisser tranquille pendant qu'on tente de le libérer. Il lui indique un fil en particulier, elle doit le libérer. C'est elle qui devra le faire. Elle va essayer de le couper avec la lame de son géniteur. La dague se casse. Elle tente de le toucher de ses doigts, il ne se passe rien. Elle tente de toucher une araignée et celle-ci vient se cacher dans le pelage. Elle tente d'arracher à la main le fil, mais échoue.
Le loup garde la bouche grande ouverte, au sol. Il tire la langue. Elle doit rentrer dans sa bouche. Elle le fais, il referme la bouche, se redresse. Il se tend, et mache. Elle est broyée, broyée entre ses dents, et là le poil se hérisse et il arrache tous les fils des araignées qui volent partout. Elles s'enfuient, il a suffisamment de force pour les empêcher de retisser, et il hurle à la lune. Puis il rétrécit jusqu'à redevenir un homme nu, qui porte dans ses bras Saabah, nue.
Elle est en vie. Il la pose délicatement sur le sol. Il demande où elle est. Des vêtements apparaissent sur lui, et il veut tuer Arauchnée. Il nous parle des souffrance qu'il a endurées.
Bellial en a marre qu'il hurle, et le lui dit.
 
On révèle à Ullr ce qu'il a raté. On vient avec lui. Il dit à Sabaah qu'elle mérite une grande destinée. Elle récupère son matériel, et voit que le médaillon est brisé. La fleur tombe en lambeaux, et Tristan cours pour tenter de récupérer la fleur, mais Ullr m'interrompt pour demander d'où viennent les grèves qui sont à lui. On doit l'aider. Je lui crie que ce n'est pas la priorité. Mais je lui rends les grèves.
 
Saabah arrive à le convaincre de tempérer sa colère. Mais il finira par la tuer. On doit monter sur son dos pour retrouver Arauchnée. Il se retransforme en loup. Iola mentionne Lazlo, aussi la créature s'arrête. Mais elle reprend ensuite. On arrive à un pont dans le lointain, avec une citadelle envahie par la tristesse, le froid. Je me sens bien, les autres ne se sentent pas bien. Quelqu'un mentionne la perle, il s'arrête et se retransforme en humain. On mentionne Onysséa. Il demande des explications. On lui explique qu'on ne la pas tuée. Il veut qu'on la lui donne.
On la lui donne.
Il la met contre son front, puis se met à pleurer. On apprend que c'est Vekna qui l'a tuée, pas qu'elle s'est sacrifiée. On explique que Vekna est à l'origine de la froideur entre les deux sœurs. Et que Bellon aussi fait partie de cette guerre.
Ullr se remet en marche, et on entend des gémissements, cris, pleurs, des voix indiscernables. On n'entend plus d'elfique.
 
Dans le palais, tout est désert. Des grandes toiles d'araignées parfois, qu'on évite.
L'obscurité diminue, les fils sont la seule lumière. Ullr hère au hasard, mais il piste. Alors résonne une voix dans le lointain :
"Qu'avez-vous fait ? Pourquoi avoir libérer ce chien"
"Pour te libérer d'un mal invisible qui étreint ton cœur depuis trop longtemps"
Elle insulte Saabah.
Celle-ci dit qu'elle a eu le courage de venir à elle peut-elle venir à nous ? Le sol se dérobe à nous.
On arrive dans une nouvelle salle.
On voit deux corps. Arauchnée sous forme d'araignée + un corps momifié, emprisonné. Ullr n'est plus là, on l'a perdu durant la chute.
Iola la prie, lui rappelle tout le passé, dit comprendre le mal qui la ronge. Que Vekna veut tout détruire face à ces souffles de vie qu'elle avait tenté de protéger. Elle dit que le choix qu'on a fait autrefois était mauvais, et qu'on aurait dû l'écouter elle. Iola lui demande de sauver les millions de gens qu'on n'a pas pu sauver avant. Elle ne demande pas d'amour, juste d'agir. Elle était l'unique à s'être intéressée à toutes les autres races qu'elle.
Elle pourrait montrer qu'elle est la plus clémente, et que plus que l'amour de Korellon elle mérite l'amour de toute Gaeon.
 
Arauchnée se rapproche du corps de Chronosia, titille quelques fils. Puis elle donne un coup de griffe pour libérer le visage humain de Chronozia. Elle révèle à Chronozia que c'est une humaine qui a plaidé sa cause. Il est temps de mettre un terme à cette folie. (elle allait la tuer !)
Mais Isolde demande si elle veut parler à Onysséa. Arauchnée accepte.
Iola doit lui amener, elle le fait.
 
La perle explose, et Arauchnée se retrouve projetée dans les filets en lâchant le corps de Chronozia. Elle se retrouve nimbée d'énergie bleutée, et une forme féminine fugace la touche puis disparaît. Elle tombe au sol et roule dans un coin. Iola va la voir en lui demandant comment elle va. Elle se relève très faiblement.
 
"qu'ai-je fait pour un être ? Qu'ai-je fait pour Korellon ?" et elle se précipite vers le corps de Chronozia et la libère.
Elles se touchent le front toutes les deux.
 
Iola tombe à genoux dans l'herbe. On n'est plus dans le palais, on est devant le Primarbre.
Iola dit être si heureuse de les revoir réunies à nouveau, les deux sœurs.
 
"Nous devons... parler aux puissants de ce monde." Elles parlent d'une seule voix.
Elles veulent les prévenir de la menace représentée par Vekna.
Elles ne veulent pas parler à Parnaël, mais aux dieux du tétrapanthéon.
Mais les dieux ne sont plus là, il y a un voile qui les sépare. Il n'est pas possible de rejoindre Élyséum pour nous, elle demande si c'est possible pour elle.
Apparemment, c'est Nuul qui a fait ce voile, d'après Isolde.
IL faudra une éternité pour Ullr pour la retrouver elle, il ère actuellement.
 
Ella Ella est sur Gaeon. La charge de faire revivre Ella Ella reviendra à Iola. Les deux déesses lui confient son pouvoir, et la touche d'une main. Iola aura la charge de ce monde, et les déesses redevenues mortelles iront partir auprès des maître de ces mondes.
Alors le primarbre tombe en morceau.
Tous les autres arbres tombent, les cours d'eau jaillissent, les montagnes disparaissent, l'air tourbillonne de plus en plus vite.
Désormais, elle s'appelle Iola Larochrone, et aura le pouvoir de façonner le lien entre les forces élémentaires et le flux noir. Elle pourra choisir pour l'éternité, et devra faire de la féérie l'arche qui échappera au cycle de Than (et des dragons primordiaux). Jour et nuit se succèdent rapidement autour de nous, et Iola a son corps qui disparait noyé sous les pouvoirs des déesses, puis pousse un arbre plus petit à la place du Primarbre.
 
Un visage est collé à ce nouvel arbre, c'est celui de Iola.
LEs deux déesses ouvrent la voie vers le flux noir et s'y engouffrent. Et la brêche se referme. Il y a un nouvel arbre, avec la conscience de Iola Larochraune, déesse de la nouvelle féérie. Elle ressent tout, les arbres, les cours d'eau, les animaux. Elle peut leur commander, et ressent la présence de créature qui n'ont rien à faire ici.
La terre se soulève pour envoyer et projeter ces corps (~100) interdits loin. Draws, elfes de sang et elfes mal intentionnés disparaissent. Elle nomme la petite souris gardien officiel du nouvel arbre.
 
Elle me sourit et déclare qu'elle tiendra ma promesse. Elle tente de se concentrer, et sort de l'herbe une créature. Ce n'est pas tout à fait la même, me regarde et me serre dans ses bras. Son corps est un poil différent, mais sa voix est la même et l'odeur différente. Le regard ne trompe pas.
Iola veut que je transmette à S'Orcha et Yaael que la nouvelle Féérie les accueillera toujours, et que S'Orcha reste sa nièce et qu'elle aimera Yaael jusqu'à la fin de sa vie.
Je relève des yeux embués de larme et lui répond "merci".
 
Plein de mougnis arrivent. Iola comprend enfin le mougnis. Ils veulent qu'il y ait des gens qui aient de l'amour.
Elle ouvre un portail pour nous vers la Sylve. Ella Ella pourra en reprendre possession.
Ella Ella la remercie, et dit qu'elle reviendra la voir. Mais lorsqu'elle tente de sortir, sa main s'effrite. Elle se rend compte qu'elle ne peut plus sortir de la Féérie. Ses mains repoussent.
 
Quelqu'un tente alors de lui parler. Elle entend "Je vous en prie, grande déesse de la Féérie, permettez-moi de trouver plein de jolies dents". Elle se sent alors l'envie de créer. Plein d'arbres sortent du sol.
Ella Ella se tourne vers moi et promet de protéger ce monde.
 
Iola sent les montagnes qui bougent, et sent une force qui court, court et veut s'échaper. Cela doit être Ullr. Elle le coince dans des branches d'arbres, qu'il casse, elle les recrée.
puis il est libéré, et traverse le portail.
 
Théo me dit que si elle avait été à ma place, elle serait restée ici. Elle veut qu'elle ne risque pas ma vie. Puis elle part. Iola lui dit qu'elle espère qu'elle trouvera l'amour qu'elle cherche.
Puis elles nous disent au revoir.
 
Je dis qu'elles doivent attendre une journée, et que si je ne reviens pas, elles partent.
Saabah me dit qu'elle espère que je prendrai la bonne décision. Et Théo (de loin) crie aussi (mais elle, elle souhaite que je reste).
Et elles partent.
 
En partant, elles ont l'impression qu'on s'immobilise. Nous on a l'impression qu'elles ont accéléré.
 
=== NOTES PERSOS POUR LA SUITE ===
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