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Alexis' Chronicles résumé des épisodes/Saison 1

13 582 octets ajoutés, 18 décembre 2022 à 23:49
Épisode 7 :
=== Épisode 7 : Terre en vue ! === Quelques jours après "Alexis et Célestin sévèrement fricoté" *toussote* depuis anniversaire. Le temps s'était assombri. Difficulté de parler, mais au fil du temps la camaraderie était revenue comme avant. Paraissait plus rassurant que de rougir en permanence (on s'est rendu compte que l'on rougissait souvent les deux, et on a essayé d'avoir l'air plus normaux). Pas eu le temps de reparler à ma sœur. Nos attentes de vigie avaient augmenté, car on devait détecter "LA TERRE". Certains avait envisagé même la vigie inférieur ou de nous séparer, mais Tora s'y était opposé. On approchait des deux tiers de notre travail de vigie. Les attentes étaient si fortes que Jack nous avait appelés pour (en matinée), annuler notre travail en vue d'une nocturne. Journée à nous reposer. Difficulté à retrouver dans le sommeil qu'on avait quitté à peine plus tôt. Il fait nuit, très froid. Gros manteaux, dans la vigie. Le ciel est recouvert de nuages mais quelques embrasures laissant voir des étoiles. On distingue la mer. Je grelotte. On cherche à détecter de la lumière (une ville). Je repense à l'après-midi.  Flashback : On a pas réussi à trouver le sommeil, quitté trop vite. Résultat, on ne peut quitter la cabine mais on s'emmerde. Je force en allant en premier dans le lit du haut, laissant celui du bas libre pour Alexis. Le temps s'écoule, je ne trouve pas le sommeil. Alexis chuchote un "tu dors ?", je me relève et sors la tête du lit pour le regarder d'en haut. Il est sous sa couette, sans oreille retournée (OOOOh). "Non, et toi ?" Non plus. Dur de dormir quand on est réveillé depuis plusieurs heures en ayant déjà fait autant de sommeil la nuit. On cherche un moyen de dormir, mais on ne comprends pas comment faire. Il a les yeux grands ouverts. J'ai tenté de compter les moutons, sans succès. Alexis propose de s'entrainer, pour se fatiguer. Mais on n'a pas la place. Alexis dit qu'il est hors de question de faire des pompes. Ni des abdos. Donc impossible de tourner en rond dans la cabine. Je décide de faire quand même des pompes, j'en peux plus. Je descends du lit, et j'essaie de faire des pompes par terre. Et des abdos. Alexis me regarde faire. Au début il a un air vague de truc qui bouge à surveiller. Puis un air plus dans ses pensées sans trop comprendre. J'arrête l'exercice. Puis après une idée, je vais fouiller dans mes affaires. Alexis tient son oreiller contre lui. Je sors le grelot, et à peine je l'ai sorti du sac (hors flashback, je m'en souviens avec un sourire). que déjà j'entends un bruit depuis le lit d'Alexis. Il s'est redressé. Il cherche quelque chose. Je souris avec satisfaction. Il me fixe d'un air circonspect. Je n'ai pas allumé la lumière. J'essaie de remonter dans le lit en tenant le grelot pour l'empêcher de sonner. Je lui dis que j'ai une idée pour le fatiguer. J'agite le grelot. Il est frustré "tu as osé ramener ça ?!". Il lutte contre ses instincts primaires, ses oreilles bougent. Puis il s'élance. Je retire le grelot. "Mais !". Je lui dis qu'avec ça il va s'endormir comme un petit chat. Ça le courrouce. "je suis pas un petit chat ! " Je réponds : c'est pour ça que j'ai dit "comme !". Je tente de remettre le grelot de l'autre côté, et me prends un oreiller en plein visage. Je tiens mon grelot de justesse, et laisse échapper un "Eh !" l'oreiller retombe mollement sur le sol. Je lance mon oreiller à mon tour. "Nan mais tu vas voir !", lâche Alexis en grimpant l'échelle. Je prends une posture de défense en tenant la clochette du poing droit. Je finis par secouer la clochette. Une boule de poils en furie se jette sur ma main. Je tente de retourner la couette pour l'en empêcher, mais échoue. Alexis se cogne la tête dans le plafond et lâche aïe. Mais il fonce sur moi et saisit le grelot.Il redescend à grande vitesse, puis joue avec le grelot. Mais finit par le coincer dans sa main. "Viens le chercher, si tu l'oses". Il a saisit son oreiller au sol au passage. Je lui jette la couette par dessus, et descends à mon tour pour le plaquer sur le matelas du sol. Je saisis mon propre oreiller au passage. Il retire la couette avec force, je lui assène un coup au visage avant de foncer sur le grelot, mais échoue. Je redonne un coup d'oreiller. Je me retrouve avec une couette projetée sur moi. Alexis se relève, j'essaie de me dépétrer dans la couette mais échoue. Alexis hésite sur quoi faire, puis me prend au flanc et me chatouille. Je me mets à rire, et tente de me retenir mais n'y arrive pas. J'arrive juste à rester focus sur le fait qu'une des mains qui me chatouille contient un grelot. Mon souvenir est alors confus. À fin je retrouve mes esprits : grelot au coin de la porte, et tous deux sur le dos, la couette en vrac, couchés sur le dos, essouflés. Je lance "ça ira ? T'es assez fatigué pour dormir ?" Il répond sur un ton épuisé "ça ira... a tout à l'heure". Puis s'endort à côté (on est toujours les deux sur le matelas du sol). Je m'endors à côté.  Fin du flashback. Ça me fait sourire, je rougis un peu (c'est le froid). On est dans la vigie inférieure, qui est elle lestée. Elle est plus anxiogène. On a déjà fait quelques passages avant. J'ai froid. Alexis a le nez dans les genoux. Il claque des dents, moi aussi. "Il fait un petit peu froid quand même". Il m'éternue dessus. Je me décale (me rapprochant). Alexis me rappelle que le manuel dit qu'il faut se frotter le corps. Il fait l'appel, mais il fait très froid. "Pourquoi il faut que ce truc s...soit en f...foutue feraille ! Tout est froid ici !". Il s'est rassis. Il me dit qu'il ne m'en voudra pas si je me rapproche. Je finis par ravaler ma fierté. On se retrouve très serrés. Il ne reste que 4h. On tente de discuter. Alors qu'on tente de se réchauffer, puis Alexis voit de la lumière ! Mais il n'est pas sûr. Il saute, pour vérifier. Mais un nuage est passé. On est frustrés de ne pas savoir si c'était un reflet ou pas. Il finit par la voir. Il voit de la lumière. On transmet, on va être rappelés. (1h du matin). J'essaie de me coller contre Alexis, et regarde au cas où on verrait de la terre. Ça sonne, je me précipite pour répondre. C'est Tora. Alexis se précipite pour dépeindre la situation. Il n'arrive pas trop à décrire. Je vais regarder de mon côté, je pourrais imaginer distinguer des petits points de lumière. Alexis est content, ils vont nous remonter, le visuel a été confirmé. On doit se remonter. On tente de tourner, la poignée est super froide. On finit par remonter. Ellipse temporelle. On a remonté la passerelle inférieure, on est dans la salle à la carte, où quelqu'un nous a apporté une couette (pour 2). On se serre en claquant des dents, alors que Tora arrive et nous demande quelques explications. Alexis explique ce qu'il a vu. Jack Baltazar arrive avec un air mal réveillé. Il fait un signe de tête avant de déclarer "beau travail". Nous allons amorcer une descente, ils n'auront plus besoin de la vigie pour le moment. Néanmoins, on doit rester éveiller au cas où. On peut rester ici si on veut. L'homme loup s'en va. Reque passe et nous salue en passant. Alexis est au chaud, trop content, mais reste collé contre moi. Il a cessé de trembler. J'avais tellement froid que je me fiche de la proximité entre nous. Hypéria finit par arriver, puis nous regarde avant de faire un petit coucou. Puis c'est au tour de quelqu'un de revenir de la passerelle avec deux tasses chaudes, qui nous sont tendues. De la part d'Hypéria. Je fais passer les remerciements. Je bois ma tasse de tisane. On s'endort sur place, toujours collés. On est soudainement réveillés, je sens mes tripes. Je sursaute, Alexis aussi. Bruit sourd, violent, fort, intense. Je crie "qu'est-ce qui se passe ?". Hectoria est à côté des cartes, se tenant pour éviter le souci. Elle discutait avec Reque qui déclare "voilà, un travail rondement mené". Alexis demande si on est attaqués, et quelle heure il fait (sic). Hectoria semblait étonnée d'une telle affirmation de Reque. Alexis me demande ce qu'il se passe, je n'en sais rien. Reque se met à notre niveau et annonce "Il se passe, mes deux petits, que nous avons atterri !" Alexis est très mal réveillé. Je ne comprends pas non plus. Hypéria sort de la salle de commandement avec un air guindé. Tora donne des ordres de l'intérieur, Hypéria aussi donne des directives ici. Elle nous ordonne de chercher Jasper, je la remercie pour la tisane et m'exécute. Elle lance encore "et habillez-vous adéquatement, nous avons audience !". Je cours chercher Jasper. Je note que le sol ne tangue plus. Je toque à la chambre de Jasper, qui ouvre, mal réveillée. J'explique. Elle rentre se préparer, et nous redit elle aussi de nous habiller bien pour l'audience (avec un ton paniqué). Je me précipite dans la chambre pour me changer. On sait (de par la lumière qui provenait de la cabine de pilotage dans la salle des cartes) qu'il fait jour. Je m'habille dans mes meilleurs vêtements, Alexis aussi. Je me précipite aussitôt dans la salle des cartes. L'homme loup nous lève un étrange regard (entre autres). J'avais loupé Hypéria, elle était dans le couloir. Je m'excuse. J'arrive à Hypéria. Jasper nous prend par les épaules pour nous garder près d'elle. Hypéria explique la mission. Contact établi via Reque avec la cité resplendissante d'Animapolis. Notre objectif : diplomatie. Aucune violence autorisée, ni même de réponse violente sans autorisation d'Hypéria. (mais prudence, de mise cas contact perdu depuis des années). Audience auprès du roi Tobias. Objectif : restaurer le lien autrefois existant entre nos deux civilisations. (70 personnes autour de nous). L'équipage de l'Uroscyon restera à bord, Tora aussi, au cas où il faudrait repartir rapidement. Les accompagnants sont là pour des raisons diplomatiques, symboliques (elles nous regardent) mais aussi de protection. On doit faire appel à notre hiérarchie avant de prendre des décisions, les moeurs ne sont pas les mêmes entre les civilisations. On descend la rampe d'escalier. Des chevaux sont disponibles. La partie avant de L'Uroscyon, que nous avions passé il y a à peine quelques semaines, s'ouvre, dévoilant une rampe menant à un sol sablonneux. En face de nous, le soleil qui brille fort. Une grosse ville en face, à quelques heures : Animapolis. Qui reflète le soleil qui se lève encore, comme si elle était formée de métal (musique de Numenor). On contemple la cité durant les heures de marches qui nous en séparent. La cité est ambrée. Les arches nous accueillent, tandis que l'on serpente dans nos caravanes pour pénétrer à travers la voie immense (vide de gens) qui mène dans les hauteurs. Quelques visages à des rambardes, une vingtaine de mètres avant. Ils semblent humains, mais moins encore que les autres hybrides. Plus de poils. On s'avance sur ce sillon qui nous fait pénétrer la cité. Je me sens tout petit. Au centre, un énorme monticule ressemblant à Administria. Une place centrale ressemble à une sorte de Colisée. Hypéria s'arrête avec son cheval. Une personne s'exclame du haut du monticule. "Vous avez demandé une audience au roi Tobias, cette audience vous sera offerte." On est dans une sorte de cuvette. La place entière (50 m de rayon) commence à gronder, pivoter et s'élever. Je me crispe. Le sol semble fait d'or (en vrai, de l'étain). On dépasse le muret, ce qui permet de voir la mégalopole : des arcs, des colonnades, des batisses énormes, toutes dorées. Des pierres d'une qualité extraordinaire (genre l'Atlantide, quoi). La passerelle continue de s'élever. Mais la lumière disparait, alors que l'on passe à l'intérieur de quelque chose (on s'est élevés de 300m environ). On se retrouve dans une immense salle. Avec un immense roi éléphant, debout devant son trône, tenant un immense sceptre avec sa trompe. (His majestic King of badassery) Je suis estomaqué. Il est entouré de plusieurs personnes composant sa cour. "Sa majesté le roi Tobias vous offre son audience !". Hypéria baisse la tête, Jasper se met à genoux, je fais de même. Hypéria déclare alors : "Roi Tobias et royaume d'Animapolis, nous vous remerçions de nous accorder cette audience car notre visite n'était pas convenue". "Et je vous offre cette audience, notamment en gage de la reconnaissance éternelle, car passé rayonnant dû à Axelor qu'on ne pourrait oublier, et que monde vous doit un ciel sans dragons. Il sera plus commode de s'entretenir sur les raisons de votre visite en privé." (voix forte sans hésitation). Je regarde les membres de la cour. Un hybride de gros chat (oreilles plus rondes, pelage jaguar), et autres. "Visite pas convenue, néanmoins vous êtes considérés comme invités qqs jours." Hypéria remercie pour l'hospitalité + propose de beaucoup échanger pour mettre à jour depuis la perte de contact. Des portes s'ouvrent sur les côtés, et on est rejoints par des gens. Ce sont des gardes qui nous escortent, accompagnés avec Jasper à travers des lieux propres, bien agencés, de taille démesurés, jusqu'à une chambre pour nous annexe à celle de Jasper (à l'intérieur de sa suite) qui a indiqué qu'on devait rester avec elle. Dans la suite de Jasper, corbeille avec des fruits, balcon avec vue sur la ville qui s'étend sur des km. Nous on a un grand lit double. Elle dit qu'on peut se reposer. On est fatigués. Donc on va se coucher, peut-être.      
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